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Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

tiens d'ailleurs si je bouquinais plutot que d'attendre une faveur de dame titam qui ne viendra pas?

la place est prise mon bon!

tu n'es vraiment pas partageuse. c'est rien pénible à force cette exclusivité réservée à M.Titam!

Colonel Langlois a écrit:

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

tiens d'ailleurs si je bouquinais plutot que d'attendre une faveur de dame titam qui ne viendra pas?

la place est prise mon bon!

tu n'es vraiment pas partageuse. c'est rien pénible à force cette exclusivité réservée à M.Titam!

Si tu veux en discuter directement avec lui...

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

tiens d'ailleurs si je bouquinais plutot que d'attendre une faveur de dame titam qui ne viendra pas?

la place est prise mon bon!

tu n'es vraiment pas partageuse. c'est rien pénible à force cette exclusivité réservée à M.Titam!

Si tu veux en discuter directement avec lui...

s'il est aussi partageur que toi, c'est mal barré!

Colonel Langlois a écrit:

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

tiens d'ailleurs si je bouquinais plutot que d'attendre une faveur de dame titam qui ne viendra pas?

la place est prise mon bon!

tu n'es vraiment pas partageuse. c'est rien pénible à force cette exclusivité réservée à M.Titam!

Si tu veux en discuter directement avec lui...

s'il est aussi partageur que toi, c'est mal barré!

C'est tout à fait ça.

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

Titam a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

tiens d'ailleurs si je bouquinais plutot que d'attendre une faveur de dame titam qui ne viendra pas?

la place est prise mon bon!

tu n'es vraiment pas partageuse. c'est rien pénible à force cette exclusivité réservée à M.Titam!

Si tu veux en discuter directement avec lui...

s'il est aussi partageur que toi, c'est mal barré!

C'est tout à fait ça.

pff depuis le temps on avait compris
on fait semblant pour alimenter la conversation

Note de l'éditeur "Travail, Famille, Patrie" Que reste-t-il de ce triptyque qui devait symboliser la "Révolution nationale" de l'Etat français lorsque, comme Patrick Buisson, on regarde la vie de la France occupée sous le prisme de la sexualité ? Rien, en vérité. Ou plutôt, une incroyable somme de contradictions.
La première divise les équipes dirigeantes de Vichy où deux courants ne cessent de s’affronter : d’un côté, la droite conservatrice et cléricale désireuse d’en finir avec la démocratie républicaine ; de l’autre, un courant fasciste, fasciné par le modèle allemand, souvent encadré par des personnalités venues de la gauche socialiste et communiste. L’ordre moral des premiers ne parvient pas à cohabiter avec l’ordre viril des seconds.
Contradiction aussi entre une France vaincue et humiliée et l’atmosphère de fête qui règne dans pratiquement toutes les villes et, en particulier, à Vichy et à Paris.

on savait s'amuser à cette époque. c'est un fait.

pauouèrreduho² a écrit:

on savait s'amuser à cette époque. c'est un fait.

Et le cinoche français n’a presque jamais été aussi bon que sous l’occup’ : Goupi mains rouges, Le Corbeau, L'Assassin habite au 21 , Les Enfants du Paradis, Douce, L'Assassinat du Père Noël, Les Inconnus dans la maison et le fantastique La Main du diable( petit chef d’œuvre sa race !! )… Bref de là à réclamer le retour des bruits de bottes, du vert-de-gris et de la topinambour, il n’y a qu’un pas que je ne franchirai pas. Faut quand même pas déconner.

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

henry potter a écrit:

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

c'est du bon sens. se mélanger avec la plèbe demeurera toujours une expérience déplorable

Jack's Tulip a écrit:

henry potter a écrit:

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

c'est du bon sens. se mélanger avec la plèbe demeurera toujours une expérience déplorable

Même si tu sembles faire une exception avec nous.

Loner² a écrit:

Jack's Tulip a écrit:

henry potter a écrit:

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

c'est du bon sens. se mélanger avec la plèbe demeurera toujours une expérience déplorable

Même si tu sembles faire une exception avec nous.

Faut qu'on lui dise merci et qu'on sorte les rameaux d'olivier pour l'accueillir sur son âne?

Titam a écrit:

Loner² a écrit:

Jack's Tulip a écrit:

henry potter a écrit:

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

c'est du bon sens. se mélanger avec la plèbe demeurera toujours une expérience déplorable

Même si tu sembles faire une exception avec nous.

Faut qu'on lui dise merci et qu'on sorte les rameaux d'olivier pour l'accueillir sur son âne?

Mouais... Un tapis rouge souillé par de la merde d'âne, çà fait désordre.

Loner² a écrit:

Titam a écrit:

Loner² a écrit:

Jack's Tulip a écrit:

henry potter a écrit:

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

c'est du bon sens. se mélanger avec la plèbe demeurera toujours une expérience déplorable

Même si tu sembles faire une exception avec nous.

Faut qu'on lui dise merci et qu'on sorte les rameaux d'olivier pour l'accueillir sur son âne?

Mouais... Un tapis rouge souillé par de la merde d'âne, çà fait désordre.

C'était rapport au messie...

Titam a écrit:

Loner² a écrit:

Titam a écrit:

Loner² a écrit:

Jack's Tulip a écrit:

henry potter a écrit:

Oyster a écrit:

Le manuscrit de Dedalus. Je le commence demain dans le train celui-là.

lire dans un train c'est galère entre les conversations insipides des passagers, les rires des mioches et les portables, faut du courage parfois... en première classe c'est mieux, il est vrai.

c'est du bon sens. se mélanger avec la plèbe demeurera toujours une expérience déplorable

Même si tu sembles faire une exception avec nous.

Faut qu'on lui dise merci et qu'on sorte les rameaux d'olivier pour l'accueillir sur son âne?

Mouais... Un tapis rouge souillé par de la merde d'âne, çà fait désordre.

C'était rapport au messie...

Ben ouais... J'avais pigé... Je voulais dire que, Messie ou pas, je suis pas du genre à dérouler le tapis rouge.

Loner² a écrit:

Ben ouais... J'avais pigé... Je voulais dire que, Messie ou pas, je suis pas du genre à dérouler le tapis rouge.

Ah.

fini ce bouquin jeudi soir
très bon mais éprouvant. j'ai mis quasiment 2 mois à le terminer.
certains passages sont tous simplement insupportables et douloureux. après ces quelques passages, j'ai mis le livre de côté pendant quelques jours.
d'autres passages sont bouleversants.
enfin, ce n'est pas un livre pour les vacances mon bon BB

je reviendrai peut être avec un post plus long sur ce bouquin, si j'ai le courage.

dans la foulée j'ai commencé ça

Georges Sadoul est un gros con. Une fiente communisse.Un bourbillon rouge.
« Les plus réputés représentants de ce noir courant furent Hitchcock et Wilder. Le premier, d’origine autrichienne, fit alterner des œuvres complaisamment désespérer avec de classiques fabrications commerciales (… ) Sunset boulevard faux et grandiloquent comme un vieux drame mondain danois, monnaya la déchéance physique apportée par la vieillesse aux fondateurs d’Hollywood : Gloria Swanson, Stroheim, Buster Keaton, etc. »Je vous épargne le paragraphe suivant : un laïus pisse-vinaigre et suffisant écrit à la truelle sur la vacuité de l’univers hitchcockien. Quelle pute !

J’aurais aimé lire cette chose d’un derrière distrait mais les pages de ma vieille édition sont trop jaunes et trop rêches. J’ai l’œil de bronze délicat. J’ai donc balancé cette sous-merde dans le container. Les éboueurs passeront le prendre demain. C’est la première fois que je jette un livre. Ca détend.

Georges Sadoul est un gros con.

Dan a écrit:

Georges Sadoul est un gros con. Une fiente communisse.
« Les plus réputés représentants de ce noir courant furent Hitchcock et Wilder. Le premier, d’origine autrichienne, fit alterner des œuvres complaisamment désespérer avec de classiques fabrications commerciales (… ) Sunset boulevard faux et grandiloquent comme un vieux drame mondain danois, monnaya la déchéance physique apportée par la vieillesse aux fondateurs d’Hollywood : Gloria Swanson, Stroheim, Buster Keaton, etc. »Je vous épargne le paragraphe suivant : un laïus pisse-vinaigre et suffisant écrit à la truelle sur la vacuité de l’univers hitchcockien. Quelle pute !

J’aurais aimé lire cette chose d’un derrière distrait mais les pages de ma vieille édition sont trop jaunes et trop rêches. J’ai l’œil de bronze délicat. J’ai donc balancé cette sous-merde dans le container. Les éboueurs passeront le prendre demain. C’est la première fois que je jette un livre. Ca détend.

Georges Sadoul est un gros con.

Il a pas tout à fait tort quand même.

Loner² a écrit:

Dan a écrit:

Georges Sadoul est un gros con. Une fiente communisse.Un bourbillon rouge.
« Les plus réputés représentants de ce noir courant furent Hitchcock et Wilder. Le premier, d’origine autrichienne, fit alterner des œuvres complaisamment désespérer avec de classiques fabrications commerciales (… ) Sunset boulevard faux et grandiloquent comme un vieux drame mondain danois, monnaya la déchéance physique apportée par la vieillesse aux fondateurs d’Hollywood : Gloria Swanson, Stroheim, Buster Keaton, etc. »Je vous épargne le paragraphe suivant : un laïus pisse-vinaigre et suffisant écrit à la truelle sur la vacuité de l’univers hitchcockien. Quelle pute !

J’aurais aimé lire cette chose d’un derrière distrait mais les pages de ma vieille édition sont trop jaunes et trop rêches. J’ai l’œil de bronze délicat. J’ai donc balancé cette sous-merde dans le container. Les éboueurs passeront le prendre demain. C’est la première fois que je jette un livre. Ca détend.

Georges Sadoul est un gros con.

Il a pas tout à fait tort quand même.

Grosse pute ! M’étonnerait pas que tu votes communisse toi.

Dan a écrit:

Loner² a écrit:

Dan a écrit:

Georges Sadoul est un gros con. Une fiente communisse.Un bourbillon rouge.
« Les plus réputés représentants de ce noir courant furent Hitchcock et Wilder. Le premier, d’origine autrichienne, fit alterner des œuvres complaisamment désespérer avec de classiques fabrications commerciales (… ) Sunset boulevard faux et grandiloquent comme un vieux drame mondain danois, monnaya la déchéance physique apportée par la vieillesse aux fondateurs d’Hollywood : Gloria Swanson, Stroheim, Buster Keaton, etc. »Je vous épargne le paragraphe suivant : un laïus pisse-vinaigre et suffisant écrit à la truelle sur la vacuité de l’univers hitchcockien. Quelle pute !

J’aurais aimé lire cette chose d’un derrière distrait mais les pages de ma vieille édition sont trop jaunes et trop rêches. J’ai l’œil de bronze délicat. J’ai donc balancé cette sous-merde dans le container. Les éboueurs passeront le prendre demain. C’est la première fois que je jette un livre. Ca détend.

Georges Sadoul est un gros con.

Il a pas tout à fait tort quand même.

Grosse pute ! M’étonnerait pas que tu votes communisse toi.

T'es beau quand tu plonges!

gregor samsa a écrit:

Dan a écrit:

Loner² a écrit:

Dan a écrit:

Georges Sadoul est un gros con. Une fiente communisse.Un bourbillon rouge.
« Les plus réputés représentants de ce noir courant furent Hitchcock et Wilder. Le premier, d’origine autrichienne, fit alterner des œuvres complaisamment désespérer avec de classiques fabrications commerciales (… ) Sunset boulevard faux et grandiloquent comme un vieux drame mondain danois, monnaya la déchéance physique apportée par la vieillesse aux fondateurs d’Hollywood : Gloria Swanson, Stroheim, Buster Keaton, etc. »Je vous épargne le paragraphe suivant : un laïus pisse-vinaigre et suffisant écrit à la truelle sur la vacuité de l’univers hitchcockien. Quelle pute !

J’aurais aimé lire cette chose d’un derrière distrait mais les pages de ma vieille édition sont trop jaunes et trop rêches. J’ai l’œil de bronze délicat. J’ai donc balancé cette sous-merde dans le container. Les éboueurs passeront le prendre demain. C’est la première fois que je jette un livre. Ca détend.

Georges Sadoul est un gros con.

Il a pas tout à fait tort quand même.

Grosse pute ! M’étonnerait pas que tu votes communisse toi.

T'es beau quand tu plonges!

Je te compissse la carapace, l'insecte.

A l’heure où bon nombre de « comiques » citent en exemple quelques uns de nos humoristes les plus talentueux, il est grand temps de recentrer le débat.

Coluche, lors de son fameux sketch « le clochard analphabète » détournait la langue française pour obtenir un ressort comique. Il le faisait ponctuellement dans d’autres textes, mais sans en abuser. Desproges, lui, était un maestro en la matière, mais là encore, avec parcimonie, cherchant à faire rire, mais pas à tout prix. Aujourd’hui, cette méthode est utilisé par tellement de comiques qui en usent et en abusent. Debbouze, Eric et Ramsy et quelques autres ne font que çà dans leurs spectacles, détourner les mots (pas forcément de façon très fine d’ailleurs) pour en ressortir quelque chose de drôle, mais 9 fois sur 10, forcément, çà tombe à plat, l’habitude, la lassitude, et surtout le manque de propos. Coluche et Desproges décrivaient une situation, en utilisant parfois le détournement de mots. Aujourd’hui, ils décrivent ce détournement de mots, pour, parfois, avoir un propos.

Bref, quand j’ai reçu ce recueil, il y a peu, j’étais très heureux de lire que l’ensemble était chapoté par Rollin, à mes yeux, seule relève digne de ce nom de Desproges. En effet, il navigue entre les lignes et les mots avec autant d’aisance que son maître. Et bien qu’il soit moins virulent, il est parfois aussi drôle.

Mais, une accumulation d’hommages, c’est souvent bancal. Du coup, je frémis en lisant les noms qui sont conviés…. Guillon, Ruquier, Delerm (père, tout de même….), Dujardin, Foresti, Ruquier, Salomone….Aïe. Heureusement, il y a des noms plus sympatiques, Chabat, Edika, Algoud, Berroyer, Garcia, voire des noms qui ont une véritable légitimité, Villers, Rego, Bedos, ceux qui l’ont connu, entres autres, dans l’intimité.

De fait, et comme prévu, les premiers cités sont anecdotiques, Dujardin, Salomone, on frise parfois le ridicule. Ruquier par exemple, se regarde le nombril comme toujours, en finissant sur une blague potache sans relief, bien loin de l’univers de Desproges.
Morel s’en sort plutôt bien avec une anecdote au goût suranné de l’univers des Deschiens.

L’intérêt se situe donc vers ses proches, l’anecdote de Rego, et celle de Villers, où l’on sent une sorte de mélancolie poindre en se disant « c’était le bon temps ».

Et puis hop ! Le bouquin passe à autres choses, et cite Desproges dans le texte, avec aphorismes, bons mots, jeux de mots affligeants qui ont pourtant formé mon amour de la vanne à deux centimes, et la maîtrise de bilbo pour torcher les calembours les plus stupides et retors, mais qui nous font le plus rires…. Là, pas moyen de critiquer, çà se lit par bribes, à droite, à gauche, dans mon bain, aux chiottes, sur le canapé, partout, et je me surprends à éclater de rire seul, comme un con, ou à côte de femme et enfant qui se demandent tout à coup si je n’ai pas tourné la carte. Desproges est vivant, et les autres peinent encore derrière, sans même parvenir à effleurer ne serait-ce qu’instant son talent. Desproges ne mourra jamais vraiment.

« Bon sang, mais c’est bien dur ! » (Madame Maigret)