T’écoutes quoi là présentement, ma caille?

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

T'as ecouté le nouveau Cabrel ?

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

T'as ecouté le nouveau Cabrel ?

Malheureusement, oui, mais je ne vois pas le rapport. Cabrel est constant dans la médiocrité. Ce n'est même pas un mauvais gars, pire, c'est un médiocre. Perso, je trouve le nouveau single de Bashung indigne du bonhomme, mais je peux me tromper, je ne suis pas le spécialiste que vous êtes!

Loner a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

T'as ecouté le nouveau Cabrel ?

Malheureusement, oui, mais je ne vois pas le rapport. Cabrel est constant dans la médiocrité. Ce n'est même pas un mauvais gars, pire, c'est un médiocre. Perso, je trouve le nouveau single de Bashung indigne du bonhomme, mais je peux me tromper, je ne suis pas le spécialiste que vous êtes!

Aucun, c'etait juste pour mettre en perspective. Plus sérieusement, j'aimerais quand même m'envoyer plus souvent des chansons françaises que ce que je fais actuellement et Bashung m'offre ce plaisir sur plusieurs morceaux. En un an, j'ai du acheter le Mendelson et le Bashung et je suis pas sur d'avoir raté grand chose

Beachboy a écrit:

Aucun, c'etait juste pour mettre en perspective. Plus sérieusement, j'aimerais quand même m'envoyer plus souvent des chansons françaises que ce que je fais actuellement et Bashung m'offre ce plaisir sur plusieurs morceaux. En un an, j'ai du acheter le Mendelson et le Bashung et je suis pas sur d'avoir raté grand chose

Encore une fois, je ne pense pas qu'on ait dit qu'il s'agit d'un mauvais disque, mais d'un disque franchement moyen vu la qualité de la disco du bonhomme. Par contre, je te rejoins sur les disques français. Cà devient de plus en plus dur à trouvre, un bon disque de "musique au sens large du terme" française. Tous styles confondus d'ailleurs.

Loner a écrit:

Koitess ?

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

Triste et ‘achement désappointé, je suis. Jamais Bashung ne m'avait déçu. La vie c'est une belle tartine de merdaille. Heureusement qu'on peut bouffer du minou sans faire de chichi. Ca console.

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

oui! C'est fade... Putain, j’ai eu tellement l’os sur "L’Imprudence." Pas un texte à coté. Depuis Gainsbourg et Ferré, j’avais pas joui sous moi comme ça.

Dan a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

oui! C'est fade... Putain, j’ai eu tellement l’os sur "L’Imprudence." Pas un texte à coté. Depuis Gainsbourg et Ferré, j’avais pas joui sous moi comme ça.

Dan, fais moi plaisir, ecoute Mendelson

koopa chups a écrit:

Jolie pochette

Beachboy a écrit:

koopa chups a écrit:

Jolie pochette

y a pas que la pochette qui est jolie.

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

T'as ecouté le nouveau Cabrel ?

Malheureusement, oui, mais je ne vois pas le rapport. Cabrel est constant dans la médiocrité. Ce n'est même pas un mauvais gars, pire, c'est un médiocre. Perso, je trouve le nouveau single de Bashung indigne du bonhomme, mais je peux me tromper, je ne suis pas le spécialiste que vous êtes!

Aucun, c'etait juste pour mettre en perspective. Plus sérieusement, j'aimerais quand même m'envoyer plus souvent des chansons françaises que ce que je fais actuellement et Bashung m'offre ce plaisir sur plusieurs morceaux. En un an, j'ai du acheter le Mendelson et le Bashung et je suis pas sur d'avoir raté grand chose

Sans déconner et c’est pas pour faire chier mais ça, je trouve que c’est ‘achement surestimé sa race. Je sais que c’est le truc frenchy vénéré ici mais pour moi en 2 écoutes, c’était méchamment essoré.

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

T'as ecouté le nouveau Cabrel ?

Malheureusement, oui, mais je ne vois pas le rapport. Cabrel est constant dans la médiocrité. Ce n'est même pas un mauvais gars, pire, c'est un médiocre. Perso, je trouve le nouveau single de Bashung indigne du bonhomme, mais je peux me tromper, je ne suis pas le spécialiste que vous êtes!

Aucun, c'etait juste pour mettre en perspective. Plus sérieusement, j'aimerais quand même m'envoyer plus souvent des chansons françaises que ce que je fais actuellement et Bashung m'offre ce plaisir sur plusieurs morceaux. En un an, j'ai du acheter le Mendelson et le Bashung et je suis pas sur d'avoir raté grand chose

Sans déconner et c’est pas pour faire chier mais ça, je trouve que c’est ‘achement surestimé sa race. Je sais que c’est le truc frenchy vénéré ici mais pour moi en 2 écoutes, c’était méchamment essoré.

et prout !

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

oui! C'est fade... Putain, j’ai eu tellement l’os sur "L’Imprudence." Pas un texte à coté. Depuis Gainsbourg et Ferré, j’avais pas joui sous moi comme ça.

Dan, fais moi plaisir, ecoute Mendelson

Marrade rot essuyage de bite au rideau

koopa chups a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Beachboy a écrit:

Dan a écrit:

Mouais. C’est un « mouais » voltigeant de ses élytres d’or au-dessus du « premier disque français venu à la crème de caca », c’est d’accord. Mais c’est un « mouais » presque évident. Et Un « mouais » quand même. Un « mouais » loin de « L’Imprudence » et des fulgurances d’un « Dimanche à Tchernobyl ». Un « mouais » malgré la hype ambiante.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Bashung en limace luisante de bave sur le corps gisant et caché de Manset, c’est à peine moins chiant que Cabrel imitant Le Forestier édulcorant Brassens. Cet album, ça piétine, ça se secoue à rebours, ça remet avec moins de magie et de singularité qu’hier un petit pas un peu élégant dans la grande empreinte d’une semelle d’antan.
Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !
Gaétan Roussel est aussi habile à mâchouiller et torsader le mot Bashungien - une grammaire qui fait de l’Oulipo autour des hanches d’un Mallarmé grisé à la Budweiser tiède - qu’un cul rebondi à remplir un béret basque sans en faire péter classieusement les coutures.
MOUAIS !

P.S: " courrirai" Rendez-nous Jean Fauque, bande de grosses connasses !

T'es raide, là quand même

Non. Alcoolisé mais juste.
J’enfonce même le clou en affirmant (sans déconner ) que le dernier Murat est bien plus intéressant que le Bashung. C’est dire si je suis « juste » et pas alcoolisé.

L'ignoble machin sur Tristan ? T'es quand même pas loin du coma étylique; Certes si on rapproche bleu pétrole de l'imprudence, on est loin du compte mais il y a des chansons (magnifique "comme un légo") à tomber par terre. La déception est surtout venue des 2 reprises complètement ratées de Manset et Cohen.

Les deux reprises sont absolument pitoyables. Pire, de mauvais goût. Oui.
Manset dans Bashung ou Bashung dans Manset, rare moment excitant du disque :
« Comme un légo » oui, une claque. La seule, presque. ( Sur un trapèze, joli morceau délicat, joli texte )
Le reste est redite ( élégante, soit, mais redite) mais en moins bien branlé. Fantaisie militaire et surtout L’Imprudence, c’est quand même autre chose sa race.
Dans deux mois, ce disque exaspérera l’oreille des plus fiers Bashungiens, dont je suis. Certain.

"L'ignoble machin sur Tristan ?" Visiblement, tu ne l’ as pas vraiment esgourdé. Il y a des délicatesses d’arrangement et des sonorités de folk assez intéressantes pour me faire au moins deux moins. J’ajoute, une langue chantournée et riche qu’on ne trouve que très rarement ici bas dans la langue de Galabru et Francis Cabrel.

Dan est triste, çà se sent, et çà, c'est vraiment moche!

PS: Ce disque est vraiment pas terrible, alors, arrêtons de dire: c'est Bashung, donc c'est bien, non. il est en roue libre. Son single est mauvais, autant sur les textes, que sur la musique. Mais le bonhomme n'a pas fait tant de faux pas que çà, je crois, alors, pardonnez, bande de cruelles créatures!

T'as ecouté le nouveau Cabrel ?

Malheureusement, oui, mais je ne vois pas le rapport. Cabrel est constant dans la médiocrité. Ce n'est même pas un mauvais gars, pire, c'est un médiocre. Perso, je trouve le nouveau single de Bashung indigne du bonhomme, mais je peux me tromper, je ne suis pas le spécialiste que vous êtes!

Aucun, c'etait juste pour mettre en perspective. Plus sérieusement, j'aimerais quand même m'envoyer plus souvent des chansons françaises que ce que je fais actuellement et Bashung m'offre ce plaisir sur plusieurs morceaux. En un an, j'ai du acheter le Mendelson et le Bashung et je suis pas sur d'avoir raté grand chose

Sans déconner et c’est pas pour faire chier mais ça, je trouve que c’est ‘achement surestimé sa race. Je sais que c’est le truc frenchy vénéré ici mais pour moi en 2 écoutes, c’était méchamment essoré.

et prout !

Paie ton pubis aux reflets dorés, toi

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Koitess ?

Du hip hop qui sample Coltrane. Ce que m'en laisse écouter mon moutard me fait bien kiffer, mais j'y reviendrai en des temps plus paisibles!

Loner a écrit:

Beachboy a écrit:

Loner a écrit:

Koitess ?

Du hip hop qui sample Coltrane. Ce que m'en laisse écouter mon moutard me fait bien kiffer, mais j'y reviendrai en des temps plus paisibles!

Sale gosse