Dylan

Bonne technique pour atteindre les 100 000 plus rapidement: lancer Ordradek sur Dylan.

karmeliet a écrit:

Bonne technique pour atteindre les 100 000 plus rapidement: lancer Ordradek sur Dylan.

On en est à combien ?

Odradek a écrit:

karmeliet a écrit:

Bonne technique pour atteindre les 100 000 plus rapidement: lancer Ordradek sur Dylan.

On en est à combien ?

99 263.

Il était comment Dylan étant petit? Bon élève?

karmeliet a écrit:

Odradek a écrit:

karmeliet a écrit:

Bonne technique pour atteindre les 100 000 plus rapidement: lancer Ordradek sur Dylan.

On en est à combien ?

99 263.

Il était comment Dylan étant petit? Bon élève?

Non, c’était un véritable sagouin. Il était très dissipé et organisait des concours de pets au fond de la classe. Il était en revanche assez fortiche en histoires de Toto

100 balles que si je ponds un topic JANDEK, Phasmou fait exploser les stats!

Loner a écrit:

100 balles que si je ponds un topic JANDEK, Phasmou fait exploser les stats!

Oui mais même toi au bout de 10min de Jandek tu partiras voir l'OM à la téloche

karmeliet a écrit:

Loner a écrit:

100 balles que si je ponds un topic JANDEK, Phasmou fait exploser les stats!

Oui mais même toi au bout de 10min de Jandek tu partiras voir l'OM à la téloche

Pas forcément....

Loner a écrit:

karmeliet a écrit:

Loner a écrit:

100 balles que si je ponds un topic JANDEK, Phasmou fait exploser les stats!

Oui mais même toi au bout de 10min de Jandek tu partiras voir l'OM à la téloche

Pas forcément....

sûr, vu qu'au bout de 5min, il se sera jeté par la fenêtre.

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

Reprenons les choses dans l'ordre voyons voyons...

Bon, encore 1964 :

http://fp.nightfall.fr/index_646_bob-dylan-another.html

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

jeffard a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

C'est vrai, j'aurais dû, tiens...

jeffard a écrit:

Album trop méconnu (écrasé entre Times et Bringing). Enregistré en une nuit. Guitare ou piano.

Mes préférées :

Spanish Harlem incident
Chimes of freedom (un poème superbe)
To Ramona
My back pages
Ballad in plain D
It ain't me babe.

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

C'est vrai, j'aurais dû, tiens...

J'ai rien capté.

Loner a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

C'est vrai, j'aurais dû, tiens...

J'ai rien capté.

Bah, c'était dans une autre vie. Jeff avait eu la (bonne ?) idée de chroniquer les 100 albums indispensables, 'livre' écrit par je ne sais plus qui. Et quand ce fut le tour de Blonde on blonde, il me l'a massacré comme ce n'est pas permis. D'où esclandes, drames en tout genre, menaces de suicide et tout çà, la routine quoi..

Odradek a écrit:

Loner a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

C'est vrai, j'aurais dû, tiens...

J'ai rien capté.

Bah, c'était dans une autre vie. Jeff avait eu la (bonne ?) idée de chroniquer les 100 albums indispensables, 'livre' écrit par je ne sais plus qui. Et quand ce fut le tour de Blonde on blonde, il me l'a massacré comme ce n'est pas permis. D'où esclandes, drames en tout genre, menaces de suicide et tout çà, la routine quoi..

On a évité le bloodbath quand même?

Odradek a écrit:

Loner a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

C'est vrai, j'aurais dû, tiens...

J'ai rien capté.

Bah, c'était dans une autre vie. Jeff avait eu la (bonne ?) idée de chroniquer les 100 albums indispensables, 'livre' écrit par je ne sais plus qui. Et quand ce fut le tour de Blonde on blonde, il me l'a massacré comme ce n'est pas permis. D'où esclandes, drames en tout genre, menaces de suicide et tout çà, la routine quoi..

C'était le bouquin de Manoeure 'les 100 disques indispensables' et je l'ai pas "massacré" du tout. la preuve...

Citation :

BOB DYLAN - Blonde On Blonde (1966)

M'y voilà, question fatidique : que penser de ce fameux "premier double vinyle de l'histoire du rock", alors que je suis en train de s'ingurgiter depuis bientôt deux années l'oeuvre pléthorique de Zimmerman grâce aux conseils de e-potes érudits ?
Entre les sublimes "Basement Tapes" officiels ou pas, entre les géants "Freewheelin'" et "highway 61 revisited" qui l'ont précédé, que retenir de "Blonde On Blonde" ? Assez peu de choses.

Une rapide écoute en 2006 de cet album archi-connu ne procure que peu de satisfaction. Alors, je m'y repenche, et là, je comprends : des morceaux longs et parfois chiants, faut-il l'admettre ; vieux folk-blues déglingués très feignasses comme le premier "rainy day women" et son refrain baltringue-fanfare et provoc'mou du genou. A la fin, ce surestimé "sad-eyed lady of the Lowlands" qui n'en finit plus de déverser sa complainte musicale anesthésiée. Au milieu, ce "Stuck inside of mobile" sans saveur, la ballade country classique et fatigante "temporary like Achilles". On se dit que Dylan se foule pas, fort de son succès des précédents albums, lui le nouveau porte-parole de ceux qui veulent gueuler sans en avoir le pouvoir et/ou le courage, il s'en cogne et fabrique tranquillou ses petites historiettes. Robert repose sur ses lauriers, Robert est amoureux, Robert n'a plus rien à prouver, Robert ne s'appuie que sur son criard harmonica, Robert est CCC.

Mais on retient aussi le très chatoyant orgue sur "absolutely sweet mary", le contre-temps qui se rapproche de la valse sur le superbe "4th time around" (un de mes morceaux préférés sur cet album), la voix parfaite sur "visions of Johanna". Et l'on se dit que Dylan est enfin un grand songwriter malgré tout, quelqu'un qui sait faire parler ses chansons, qu'elles soient longues à mourir ou tout simplement un brin insignifiantes mélodiquement. On en oublie le chant souvent pénible, remarquable parce qu'il est immédiatement reconnaissable, mais souvent faux, trop hésitant pour être pardonné.

Hormis les archi-connues "i want you", presque variétoche tellement cela transpire la facilité, et "juste like a woman", juste bien, je retiens le plus beau morceau : "One of us must know (sooner or later)" avec un Bob Dylan gracieux qui chante comme il faut, un brin péteux mais rempli d'audace joyeuse et efficace. La montée du refrain est superbe et fière, comme dans les meilleurs moments de "highway 61...". Je préfère le Dylan qui joue musicalement de ses mots, qui envoie, fier comme Artaban, ses mots giflés à la tronche, qu'ils soient de révolte ou amoureux.
L'électricité que l'on retrouve dans les enregistrements des 70's n'est pas encore là, et c'est bien dommage. Un album fort bien écrit, mais loin d'être transcendant au regard de l'ensemble de l'oeuvre de Dylan. Telle la pochette, le Dylan mature est encore brouillon, mais est prêt à exploser par la suite, on attend que tout cela s'embrase...

d'ailleurs, ce serait bien qu'on fasse ce genre de chroniques ici, plutôt que de parler du cul de Gluute et des gamineries de W...

Loner a écrit:

Odradek a écrit:

Loner a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Odradek a écrit:

jeffard a écrit:

Powerduo a écrit:

Bon, vu que c’est la semaine ou on se lâche sur Dylan, j’y vais moi aussi de mon petit truc, en réponse à un certain Jeffard sur un vieux forum aussi abandonné qu’un Capitaine des années 80. Je me faisais chier comme un rat en réunion cet aprèm et voili voilà.


Blonde on Blonde :
Que ce soit le blues désespéré de Blonde on blonde, le rock avec I want you, la mélancolie de Just like a woman, la déchirure de Visions of Johanna et l’amour de Sad eyed lady of the lowlands (cf mon Top 100 !) ce disque fait de Dylan le porte parole de sa génération non pas pour la politique comme on le dit généralement mais, ici, pour les sentiments Tas de Cons !.. Après Highway 61 de 1965 qui signe l’arrivée du rock chez le bohnomme, ce double album est son premier cadeau à ce style musical et comme il s’y essaye aussi à une forme d’expérimentation, de recherche une attitude essentielle au rock (peut être la raison pour laquelle la pochette est floue ? ) on doit donc considérer ce disque comme essentiel.
Bref, Dylan sur Blonde on Blonde à 20 ans d’avance sur tout le monde et personne ne l’a jamais rattrapé.

marrant, ça, j'ai relu ce topic l'autre jour...c'était bien bon, même si ma démarche n'avait pas été suivie. Ce serait sympa de le faire ici, en fait !
Sinon, pour Dylan, j'avais un peu exagéré, histoire de faire réagir tout le monde, et surtout papé.

Et tu avais pris cher si j'ai bonne mémoire...

très cher. certains étaient d'accord également. et tu devais te pendre. que de la gueule...

C'est vrai, j'aurais dû, tiens...

J'ai rien capté.

Bah, c'était dans une autre vie. Jeff avait eu la (bonne ?) idée de chroniquer les 100 albums indispensables, 'livre' écrit par je ne sais plus qui. Et quand ce fut le tour de Blonde on blonde, il me l'a massacré comme ce n'est pas permis. D'où esclandes, drames en tout genre, menaces de suicide et tout çà, la routine quoi..

On a évité le bloodbath quand même?

C'était limite. Ceci dit, je devais être le seul dans cet état - les autres plussoiaient Jeff. Un véritable scandale te dis-je.

le provocateur a deux balles qui en remet une couche...

jeffard a écrit:

d'ailleurs, ce serait bien qu'on fasse ce genre de chroniques ici, plutôt que de parler du cul de Gluute et des gamineries de W...

si c'est pour se cogner des pages de discussions CCC sur les Beatles, Beachboys, Pink Floyd, Led Zep, Rolling Stones et autres combos qui refoulent du goulot... eh bien je préfère largement m'esbaudir sur le popotin de gluuute, qu'elle a charmant, si j'en crois son cliché fort obligeament envoyé en MP.

Jack's Tulip a écrit:

jeffard a écrit:

d'ailleurs, ce serait bien qu'on fasse ce genre de chroniques ici, plutôt que de parler du cul de Gluute et des gamineries de W...

si c'est pour se cogner des pages de discussions CCC sur les Beatles, Beachboys, Pink Floyd, Led Zep, Rolling Stones et autres combos qui refoulent du goulot... eh bien je préfère largement m'esbaudir sur le popotin de gluuute, qu'elle a charmant si j'en crois son cliché fort obligeament envoyé en MP.

t'es un putain d'égoïste.

Jack's Tulip a écrit:

jeffard a écrit:

d'ailleurs, ce serait bien qu'on fasse ce genre de chroniques ici, plutôt que de parler du cul de Gluute et des gamineries de W...

si c'est pour se cogner des pages de discussions CCC sur les Beatles, Beachboys, Pink Floyd, Led Zep, Rolling Stones et autres combos de bas étage qui refoulent du goulot... eh bien je préfère largement m'esbaudir sur le popotin de gluuute qui est on ne peut plus charmant, si j'en crois son cliché fort obligeament envoyé en MP.

et un débat sur LAMBCHOP?