5 FILMS DE GUY DEBORD

morris. a écrit:

Mais je n'en dirai pas plus pour le moment.

Oh si...parle nous de Michel Bounan.

morris. a écrit:

Champ Libre en 1992, à la suite d'un désaccord entre Debord et les enfants de Gérard et de sa femme Floriana, fut renommé "éditions Ivrea", Ivrea étant la ville natale de Floriana.

Ivrea continue à rééditer certains livres de Champ Libre. Ils tiennent aussi une librairie où ne sont vendus que les livres de Champ Libre. L'adresse est rue du Sommerard 27, 75005 Paris. C'est vers le musée de Cluny (place Paul Painlevé) dans le quartier des Ecoles. C'est une jolie librairie, on y croise parfois un des fils de Floriana entrain de corriger des épreuves ou en conversation avec un auteur. L'horaire d'ouverture est assez restreint, je crois que c'est du jeudi au samedi et uniquement l'après-midi à partir de 15 heures.
Cela fait quelque temps que je n'y vais plus car Paris ne m'attire guère depuis que la ville a été dévastée par les urbanistes. Je préfère rester chez moi.

Ce Morris commence à me faire loler sévère. T'habites où ?

jeffard a écrit:

morris. a écrit:

Mais je n'en dirai pas plus pour le moment.

Oh si...parle nous de Michel Bounan.

Euh non, c'est bon, là

morris. a écrit:

5 films de Guy Debord : http://www.ubu.com/film/debord.html


Critique de la séparation (1961)

Hurlements en faveur de Sade (1952)

In Girum Imus Nocte Et Consumimur Igni (1978)

Réfutation de tous les jugements (1975)

La Société du spectacle (1973)

En DVD, ils sont bien aussi, l'image est plus grande

morris. a écrit:

Je ne sais plus qui a prétendu que je n'avais pas vu les films de Guy Debord. C'est inexact.

J'ai vu les films de Guy Debord lorsqu'ils étaient projetés au cinéma de la rue Cujas à Paris dans les années huitante. Ce cinéma appartenait à Gérard Lebovici et il avait décidé de le consacrer exclusivement à diffuser les oeuvres de son ami, un peu comme une bibliothèque ne recelant les oeuvres que d'un seul auteur. Un beau geste de Lebovici en forme de potlatch qui provoquait l'ire et la jalousie dans le milieu ô combien pourri du cinéma. Les autres cinéastes étaient envieux de l'attention que prodiguait Lebovici à Debord. L'immonde Resnais était un de ces envieux, Truffaut un autre, des nullités rongées par l'envie et qui ont fini leurs pitoyables carrières dans les poubelles de l'histoire.
Toutes ces ordures éprouvèrent un inavouable sentiment de satisfaction lors de l'assassinat de Lebo en 1984.

ça fait plaisir de lire ça

MuteWitness a écrit:

morris. a écrit:

Champ Libre en 1992, à la suite d'un désaccord entre Debord et les enfants de Gérard et de sa femme Floriana, fut renommé "éditions Ivrea", Ivrea étant la ville natale de Floriana.

Ivrea continue à rééditer certains livres de Champ Libre. Ils tiennent aussi une librairie où ne sont vendus que les livres de Champ Libre. L'adresse est rue du Sommerard 27, 75005 Paris. C'est vers le musée de Cluny (place Paul Painlevé) dans le quartier des Ecoles. C'est une jolie librairie, on y croise parfois un des fils de Floriana entrain de corriger des épreuves ou en conversation avec un auteur. L'horaire d'ouverture est assez restreint, je crois que c'est du jeudi au samedi et uniquement l'après-midi à partir de 15 heures.
Cela fait quelque temps que je n'y vais plus car Paris ne m'attire guère depuis que la ville a été dévastée par les urbanistes. Je préfère rester chez moi.

voilà

on sombre dans la beaufitude, là les gars ?

hamish a écrit:

on sombre dans la beaufitude, là les gars ?

Peut-être, mais le passif de Morris, ici, ou ailleurs est tel qu'il est impossible de prendre son propos au sérieux. Est-ce du copié-collé, est-ce sa pensée? Bref, le bonhomme a su se rendre suffisamment anthipathique pour me donner envie d'éluder le moindre de ses posts.

gregor samsa a écrit:

hamish a écrit:

on sombre dans la beaufitude, là les gars ?

Peut-être, mais le passif de Morris, ici, ou ailleurs est tel qu'il est impossible de prendre son propos au sérieux. Est-ce du copié-collé, est-ce sa pensée? Bref, le bonhomme a su se rendre suffisamment anthipathique pour me donner envie d'éluder le moindre de ses posts.

très situ, comme démarche

hamish a écrit:

très situ, comme démarche

C'est à dire?

Morris me fait plutôt penser à quelqu'un qui se contente d'un copié collé. Il semble rendre abscons le moindre de ses propos, par plaisir, ce qui fait qu'il a provoqué, à son égard, un désintéressement général...

Je n'avais plus trop le moral dernièrement mais le tome 7 de la Correspondance de Debord m'a requinqué. Debord est formidable. Presque tout le monde en prend pour son grade, et c'est bien mérité.
Debord est le plus grand, tout le reste semble si minuscule et insignifiant en comparaison.

gregor samsa a écrit:

hamish a écrit:

très situ, comme démarche

C'est à dire?

Et voilà ! Boum ! Je l’attendais celle-là.
Une connasse désœuvrée et en manque de reconnaissance rampe de forum en forum pour y faire pipi dans les coins. Et il y a toujours un mec pour trouver ça « vachement situ ».
Pauvre Guy !

hamish a écrit:

gregor samsa a écrit:

hamish a écrit:

on sombre dans la beaufitude, là les gars ?

Peut-être, mais le passif de Morris, ici, ou ailleurs est tel qu'il est impossible de prendre son propos au sérieux. Est-ce du copié-collé, est-ce sa pensée? Bref, le bonhomme a su se rendre suffisamment anthipathique pour me donner envie d'éluder le moindre de ses posts.

très situ, comme démarche

Bon, ok, je vois où tu veux en venir. Il n'empêche que le côté "autiste systématique" de Morris finit par lasser. Pas une fois, il n'échange, même pour insulter, et se contente de coller du texte au kilomètre. Situ ou pas, je ne vois pas l'intérêt.

Autant, je peux comprendre qu'on ne nous trouve pas drôle, que le côté "floodeur" gonfle très vite, qu'on vienne ici, foutre la merde, au point de se faire lourder (on le fait de temps en temps ailleurs, faut bien tuer le temps parfois...), autant je comprends mal qu'on se contente, pendant plus d'un an, de poster du copié collé qui se pose en donneur de leçon, sans échanger la moindre idée. Faut vraiment avoir:
Soit un égo sur dimensionné genre "attendez, laissez moi vous éduquer"
Soit un un putain de temps à perdre.

Dans les deux cas, la démarche ne m'intéresse pas.

Dan a écrit:

gregor samsa a écrit:

hamish a écrit:

très situ, comme démarche

C'est à dire?

Et voilà ! Boum ! Je l’attendais celle-là.
Une connasse désœuvrée et en manque de reconnaissance rampe de forum en forum pour y faire pipi dans les coins. Et il y a toujours un mec pour trouver ça « vachement situ ».
Pauvre Guy !

Typique exemple d'un pseudo-admirateur adoptant un ton de familiarité ("Pauvre Guy!") avec des idées et un mouvement qu'il ne connaît pas, qu'il ne veut pas connaître, qu'il ne peut pas connaître du fait de son manque de goût avéré.

Pauvre con, tu as mangé à trop de râteliers suspects pour être en mesure d'apprécier à sa juste valeur tout le mérite historique de Guy Debord. Tu n'es qu'un pauvre spectateur qui pose au juge de la culture, ou de je ne sais quoi d'autre. Le journalisme (dont celui de cette misérable chose que sont Les Inrockuptibles) a causé des dégats aussi immenses dans les cerveaux des humains que les urbanistes et les capitalistes dans les paysages du monde.

Mais lorsqu'on s'est indigné que l'on puisse insulter des déchets tels que Truffaut ou Resnais, on a assez prouvé ce que l'on était.