Hier soir

jeffard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

J'arrive pas à me decider sur ce film : est ce un CO ou une purge ? Probablement un melange des deux.

un petit CO pour ma part, qui m'a donné à l'époque l'envie de découvrir d'autres films de Carrey, et bien m'en a pris : c'est un formidable acteur, en fait.

Je préfère Fous d'irène voir Dumb & Dumber (ultra con mais réellement fendard tout de même) à ce Disjoncté le cul entre deux chaises..

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

assez d'accord sur vos assertions, Carey est plutot pas mal! surtout dans Man on the moon
disjoncté est moins bon mais j'aime bien quand meme

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

surtout pour natascha alors

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

C'est dans celui-ci qu'il nous montre sa capote?

bilboquet a écrit:

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

C'est dans celui-ci qu'il nous montre sa capote?

tu as arrêté les blagues un moment toi non?
alors pour t'encourager à reprendre au niveau d'avant, disons 6/10

Colonel Langlois a écrit:

bilboquet a écrit:

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

C'est dans celui-ci qu'il nous montre sa capote?

tu as arrêté les blagues un moment toi non?
alors pour t'encourager à reprendre au niveau d'avant, disons 6/10

Que veux-tu, depuis que je sais que tu es prêt à tout pour défourailler avec la Beach Girl postale, je ne suis plus moi-même...

bilboquet a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

bilboquet a écrit:

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

C'est dans celui-ci qu'il nous montre sa capote?

tu as arrêté les blagues un moment toi non?
alors pour t'encourager à reprendre au niveau d'avant, disons 6/10

Que veux-tu, depuis que je sais que tu es prêt à tout pour défourailler avec la Beach Girl postale, je ne suis plus moi-même...

Et alors, ces côtelettes?

Titam a écrit:

bilboquet a écrit:

Colonel Langlois a écrit:

bilboquet a écrit:

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

certes, mais ce "Disjoncté" montre que Jim peut jouer autre chose que des demeurés, et des films comme "man on the moon" (le meilleur de carrey pour moi) l'ont prouvé.

Truman show était pas mal aussi.

C'est dans celui-ci qu'il nous montre sa capote?

tu as arrêté les blagues un moment toi non?
alors pour t'encourager à reprendre au niveau d'avant, disons 6/10

Que veux-tu, depuis que je sais que tu es prêt à tout pour défourailler avec la Beach Girl postale, je ne suis plus moi-même...

Et alors, ces côtelettes?

C'est plus coriaces que ça en a l'air ces trucs-là, ça veut pas caner!

putain, 3,5 kgs, et ca résiste!

Titam a écrit:

putain, 3,5 kgs, et ca résiste!

Ha non, là on est plus près du kilo...

bilboquet a écrit:

Titam a écrit:

putain, 3,5 kgs, et ca résiste!

Ha non, là on est plus près du kilo...

Le truc qui décolle quand on lui met un coup de pied dedans...

L'Orage Arrive Chez Moi - De et avec le Ciel, la Terre, les oiseaux...

Voici le pitch:

Il est 23 heures quand je sors sur la terrasse pour prendre le frais: la journée a été chaude, lourde, besogneuse. Mais ce soir, le fond de l'air est d'une douceur à côté de laquelle un sein d'adolescente pré-pubère ferait figure de gant de crin. La nuit est claire. Les étoiles ont commencé leur ballet dans le ciel et un croissant de lune vient feutrer la scène d'une ambiance tamisée. Quelques oiseaux noctambules ou insomniaques célébrent le retour du printemps (ou la gaule du soir, on ne sait pas très bien à ce moment du récit). D'un vol aussi lassif qu'imprévisible, les chauves-souris (sauf Loner parce que bon, c'est la fin du viaduc) chassent le moucheron imprudent. Tout n'est que luxe, calme et volupté...
Mais soudain, tout à coup, subitement, vlà t'y pas que de gros nuages noirs se lèvent au sud et à l'est (rien de nouveau, vous me direz). Denses et lourds (comme des seins de primipares cette fois-ci), ils moutonnent à l'horizon en s'empourprant des premiers éclairs: il semble bien à ce moment-là qu'une guerre inter-galactique ait lieu dans la stratosphère. Au fur et à mesure que cette vision d'apocalypse fond sur moi, je commence à entendre les premiers coups de marteau. D'abord assourdis par la distance, ils ryhtment bientôt la danse des décharges électriques qui zèbrent les cieux. La voute céleste s'est alors considérablement alourdie d'une épaisse fumée antracite qui dissimule tant bien que mal un duel de Titans ou quelque dieu en pétard devant la montée du prix de la baguette.
Le tonnerre et les éclairs roulent sur la plaine comme une mer déchainée roule sur le malaisien en goguette, les oiseaux ferment leur gueule et moi-même, je n'en mène pas large face à la fureur des éléments.
Au final, une demi-heure d'un grand spectacle gratuit avec une conclusion épique: pas une goutte d'eau ne viendra pleurer la fin de la représentatiion!

Bon, j'avoue, le scénario est un peu bateau. Mais les images et les costumes sont sublimes, les effets spéciaux du tonnerre, le son thx dolby surround déchire sa race et les acteurs sont au taquet. Vivement le prochain épisode!

t'écris vraiment bien, j'attends de pied ferme le lien vers ton blog littéraire

Parfois, TV5 propose des films qui tiennent un peu la route.

Titam a écrit:

Parfois, TV5 propose des films qui tiennent un peu la route.

j'ai bien aimé ce film. Berléand est bon comme du bon pain.

Une bonne grosse lolade comme nous autres les phrançais on ne sait plus faire....ça vous fait rire Frank Dubosc en slip, sérieux ?

Coverdale jr a écrit:

Une bonne grosse lolade comme nous autres les phrançais on ne sait plus faire....ça vous fait rire Frank Dubosc en slip, sérieux ?

Ah non. Même habillé d'ailleurs. Dubosc, je peux pas. C'est un des pires je crois à mes yeux.

Du très bon Howard Hawks. C'est sombre Et Etonnant.

Coverdale jr a écrit:

Une bonne grosse lolade comme nous autres les phrançais on ne sait plus faire....ça vous fait rire Frank Dubosc en slip, sérieux ?

NI EN SLIP NI autrement

Titam a écrit:

jeffard a écrit:

Titam a écrit:

TU m'étonnes, bonjour le truc tartignolle...

devant le ramassis de merdouilles vues au ciné cette année, celui-là est juste rafraîchissant comme un bon cunni. C'est déjà pas mal du tout. Et la Bo est bien.

J'aime pas les trucs "rafraichissants". Ca veut dire plein de bons sentiments, de la guimauve en veux-tu en voilà, le tout enrobé de sauce Disney "Le monde est merveilleux". Tsssssssss. Si je veux un truc rafraichissant, j'ouvre le frigo et je prends une biere.

je suis d'acc,jeffard par moment tu molis

The Barber, l'homme qui n'était pas là


Cinéma (121 votes)

• Genre : Policier-Thriller
  
• Date de sortie : 2001
  
• Durée : 1h52
  
• Réalisé par : Joel Coen
  
• Avec : Billy Bob Thornton - Frances McDormand - James Gandolfini
  
• Tous publics
  

Factory – Manchester from Joy Division to Happy Mondays

Un documentaire passionnant de la BBC qui relate l’éveil de Manchester, citée industrielle désœuvrée et endormie soudain bousculée jusque dans son âme par un set des Sex Pistols donné devant une audience restreinte. Dans le public, les futurs fondateurs du label Factory qui sentent que quelque chose de magique se passe et que Londres n’est pas forcement l’endroit où les groupes doivent se produire.
Ce qui est bon dans ce documentaire c’est que tous les éléments sont imbriqués tel un puzzle peu à peu assemblé qui prend sens devant nos yeux : la vie à Manchester, la création du label, les groupes produits, jusqu’au design des pochettes par Peter Saville et surtout l’absence totale de logique financière. Joy Division lorsqu’il signe avec Factory reste propriétaire de son travail et partage 50/50 les profits éventuels.

Au menu beaucoup de témoignages des acteurs de l’époque entrecoupés d’extraits de scène : Ian Curtis, ses yeux hallucinés, ses danses erratiques la voix au bord du gouffre, totalement hanté par sa musique, New Order bousculant la tradition du playback des tops of the pops jouant en direct Blue Monday, single qui cartonne dans les charts mais perd de l’argent à cause du design de la pochette en forme de floppy disk qui coûte horriblement cher à produire, The Durutti Column, Section 25, A certain ratio… avec un focus particulier sur Joy Division évidemment.

Fort du succès de Joy Division, Factory donne un prolongement naturel au label en la personne de l’Hacienda, club branché qui engloutit littéralement l’argent du label et est maintenu à flot par les concerts de New Order qui se force à des tournées interminables pour éviter la faillite. Le label s’éloigne peu à peu de sa fonction première, dénicher des talents et passe à côté de quelques pointures locales, notamment les Smiths et les Stone Roses. Factory vogue comme un bateau ivre vers sa perte programmée. Lueur d’espoir pourtant, les Happy Mondays, succès improbable d’un groupe de prolétaires en phase avec le peuple mancunien. Des extraits des premiers sets de Shaun hurlant la bouteille de bière à la main avec Bez pantin désarticulé et déjà fou devant une audience en transe, le tourbillon de Bummed puis Pills Thrills and Bellyaches est en marche. Des témoignages de Shauny la vieille classe, mais aussi de son frère Paul, du batteur Gary Whelan et de Rowetta Satchell, la choriste emblématique, éclairent l’ascension vertigineuse du gang de Shauny.

Le succès des Happy Mondays ne suffit pourtant pas à éponger les dépenses de l’ensemble et en 1992, Factory décide d’envoyer les Mondays à la Barbade, loin des drogues et de l’agitation pour se focaliser sur les compositions. New Order a fait la même chose auparavant pour Technique avec un résultat mitigé pourtant. L’ambition affichée de Factory pour les Mondays , un gros carton pour le nouvel album, Yes, please… On connaît la suite, Shaun s’enfonce dans le crack, gueule sur tout le monde (il y a un extrait pendant une pause du groupe où Shaun engueule littéralement son frère et son jeu de basse)… Les Mondays s’effondrent au moment où l’attention se porte désormais sur Seattle et le grunge de Nirvana. Factory fait faillite, l’Hacienda est vendue pour devenir un immeuble de luxe et Manchester retourne à l’anonymat. Restent, néanmoins, les vestiges d’une aventure humaine menée sans la moindre logique financière juste au nom de la musique, du plaisir et du bon goût.

Bref, une heure et demie de plongée bonne comme une bonne chatte.

paskaloo a écrit:

Titam a écrit:

jeffard a écrit:

Titam a écrit:

TU m'étonnes, bonjour le truc tartignolle...

devant le ramassis de merdouilles vues au ciné cette année, celui-là est juste rafraîchissant comme un bon cunni. C'est déjà pas mal du tout. Et la Bo est bien.

J'aime pas les trucs "rafraichissants". Ca veut dire plein de bons sentiments, de la guimauve en veux-tu en voilà, le tout enrobé de sauce Disney "Le monde est merveilleux". Tsssssssss. Si je veux un truc rafraichissant, j'ouvre le frigo et je prends une biere.

je suis d'acc,jeffard par moment tu molis

Jeffard, c'est le king of ze demi-molle! (çà passe au contrôle parental çà? )