Grosse pute avariée d'Oyster

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

wouuuuuuuuuu Jeffard aime pas qu'on le snobe ????

Une oyster avariée, mmmm, il doit refouler du goulot le bougre.

Titam a écrit:

Une oyster avariée, mmmm, il doit refouler du goulot le bougre.

Sûr qu'il va falloir une brassée de vinaigre d'échalote pour cacher le goût.

bilboquet a écrit:

Titam a écrit:

Une oyster avariée, mmmm, il doit refouler du goulot le bougre.

Sûr qu'il va falloir une brassée de vinaigre d'échalote pour cacher le goût.

Tel Henri IV, il va avoir du goût!

Titam a écrit:

bilboquet a écrit:

Titam a écrit:

Une oyster avariée, mmmm, il doit refouler du goulot le bougre.

Sûr qu'il va falloir une brassée de vinaigre d'échalote pour cacher le goût.

Tel Henri IV, il va avoir du goût!

Avec un peu de pot, il pourra attirer de la poule.

Ah bah là, il te snobe carrément sur tout un topic!! T'as vu comment tu lui causes aussi!

C'est vrai que ca se fait pas de traiter les gens de gros.

Titam a écrit:

C'est vrai que ca se fait pas de traiter les gens de gros.

C'est très humiliant pour les huîtres.

Loner a écrit:

Titam a écrit:

C'est vrai que ca se fait pas de traiter les gens de gros.

C'est très humiliant pour les huîtres.

Et Dieu sait que de se faire gober vivant n'est pas toujours très agréable.

Titam a écrit:

Loner a écrit:

Titam a écrit:

C'est vrai que ca se fait pas de traiter les gens de gros.

C'est très humiliant pour les huîtres.

Et Dieu sait que de se faire gober vivant n'est pas toujours très agréable.

Faut voir.

Loner a écrit:

Titam a écrit:

Loner a écrit:

Titam a écrit:

C'est vrai que ca se fait pas de traiter les gens de gros.

C'est très humiliant pour les huîtres.

Et Dieu sait que de se faire gober vivant n'est pas toujours très agréable.

Faut voir.

Ab ben t'as les mâcheurs et les gobeurs. Ca dépend sur qui tu tombes.

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

Bref, à chier.

Loner a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

Bref, à chier.

Ceux qui ne l'ont pas vu parce qu'il a fallu les prendre par la main pour leur faire découvrir les oeuvres les plus accessibles du personnage voudront bien ne pas ramener leur insignifiant point de vue (dont tout le monde se branle par ailleurs joyeusement).

Oyster a écrit:

Loner a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

Bref, à chier.

Ceux qui ne l'ont pas vu parce qu'il a fallu les prendre par la main pour leur faire découvrir les oeuvres les plus accessibles du personnage voudront bien ne pas ramener leur insignifiant point de vue (dont tout le monde se branle par ailleurs joyeusement).

Il est bon le gars ostréiculteur. On va le garder.

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

jeffard a écrit:

grosso modo

Où l'on apprend que le modo de ce forum a eu une légère surcharge pondérale.

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

grosso modo

Où l'on apprend que le modo de ce forum a eu une légère surcharge pondérale.

2/10. Et encore.

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

Grosso modo, j'ai adoré.
Ravi qu'un être aussi équilibré que toi aime aussi.

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

Grosso modo, j'ai adoré.
Ravi qu'un être aussi équilibré que toi aime aussi.

Jeffard, équilibré?

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

Grosso modo, j'ai adoré.
Ravi qu'un être aussi équilibré que toi aime aussi.

Je pense pas que "équilibré" soit le mot qui me qualifie le mieux, gageons que les putes présentes sur ce forum te le signaleront. Sinon, merci pour le compliment. T'en connais plus qui ont détesté que l'inverse ??

Loner a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

Grosso modo, j'ai adoré.
Ravi qu'un être aussi équilibré que toi aime aussi.

Jeffard, équilibré?

qu'est-ce que je disais...

jeffard a écrit:

Loner a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

Grosso modo, j'ai adoré.
Ravi qu'un être aussi équilibré que toi aime aussi.

Jeffard, équilibré?

qu'est-ce que je disais...

T'es l'incarnation de la perversité.

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

Oyster a écrit:

jeffard a écrit:

je vais écrire ma question en gras vu que tu l'as snobée dans mon post d'hier :

T'as pensé quoi du film de Todd Haynes "I'm not there" ??

Je vais faire fi de tout votre délire étonnant de spiritualité et répondre à la question.

D'abord, le postulat de départ de ce film - la multi-représentation du personnage - est fondamentalement légitime et tout à l'honneur du réalisateur. Il y a certes quelques déséquilibres entre les différentes versions du Zim, mais cela tient aussi à l'Histoire.
Ensuite, le parti pris résolument anti-chronologique : Dylan se situe lui-même dans une telle perspective - il suffit de jeter un oeil sur sa discographie, et sur ses Chroniques. Du coup, difficulté supplémentaire pour un montage qui tend à ressembler un peu trop à un clip vidéo, ce qui est fort dommage.
Enfin, concernant les acteurs : Charlotte Gainsbourg, hos sujet, et Richard Gere, sous-estimé.

Le film prend parfois un aspect halluciné très intéressant et hautement approprié, auxquels viennent nuire quelques fautes de goût. D'un point de vue biographique, dommage que la période du Never Ending Tour ne soit pas au moins mentionnée.

grosso modo, t'as aimé ou pas ?

pas d'accord sur Charlotte. je l'aime d'amour, elle pourrait jouer comme une merde que je la trouve toujours juste. Elle est sublime dans la scène dans le café.
Sinon, d'accord avec toi : un peu trop de patchwork mais c'est ce qui fait le charme du film et met en exergue la complexité du personnage du Zim.

Grosso modo, j'ai adoré.
Ravi qu'un être aussi équilibré que toi aime aussi.

Je pense pas que "équilibré" soit le mot qui me qualifie le mieux, gageons que les putes présentes sur ce forum te le signaleront. Sinon, merci pour le compliment. T'en connais plus qui ont détesté que l'inverse ??

Fort heureusement, non.
Quant aux putes présentes sur le forum, si elles remettent effectivement en cause le terme d'"équilibré" - qui relevait, mon cher, de l'ironie, vu la très grande qualité littéraire dont tu as fait preuve en ouvrant ce topic - lesdites putes feraient bien mieux de regarder ce qui se passe sous leurs jupes avant d'aller renifler celles des autres.