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Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:15 | |
|  Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! | |
|  | | Beachboy Pas grand chose

Nombre de messages : 16634 Date d'inscription : 17/09/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:23 | |
| - bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries | |
|  | | Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:26 | |
| - Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries Certes, mais de là à les publier... C'est comme si on éditait les pensées forumesque de Loner, faut pas déconer! | |
|  | | Loner Roland Flure

Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:27 | |
| - bilboquet a écrit:
- Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries Certes, mais de là à les publier... C'est comme si on éditait les pensées forumesque de Loner, faut pas déconer! Je suis sûr que çà vendrait! | |
|  | | Beachboy Pas grand chose

Nombre de messages : 16634 Date d'inscription : 17/09/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:30 | |
| - Loner a écrit:
- bilboquet a écrit:
- Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries Certes, mais de là à les publier... C'est comme si on éditait les pensées forumesque de Loner, faut pas déconer! Je suis sûr que çà vendrait! T'as un titre, que je le reserve sur Amazon ? | |
|  | | Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:30 | |
| - Loner a écrit:
- bilboquet a écrit:
- Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries Certes, mais de là à les publier... C'est comme si on éditait les pensées forumesque de Loner, faut pas déconer! Je suis sûr que çà vendrait! ça se vendrait peut-être mais est-ce que ça se lirait? | |
|  | | Beachboy Pas grand chose

Nombre de messages : 16634 Date d'inscription : 17/09/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:31 | |
| - bilboquet a écrit:
- Loner a écrit:
- bilboquet a écrit:
- Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries Certes, mais de là à les publier... C'est comme si on éditait les pensées forumesque de Loner, faut pas déconer! Je suis sûr que çà vendrait! ça se vendrait peut-être mais est-ce que ça se lirait? T'as déjà lu un post de Loner, toi ? | |
|  | | Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 11 Oct - 10:32 | |
| - Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:
- Loner a écrit:
- bilboquet a écrit:
- Beachboy a écrit:
- bilboquet a écrit:

Putain, j'en vois pas le bout de cette merde! Quand les économistes se mettent à l'écologie, bonjour les dégâts! Faut dire, les pauvres, se coltiner Orsenna, ça te donne envie de dire des conneries Certes, mais de là à les publier... C'est comme si on éditait les pensées forumesque de Loner, faut pas déconer! Je suis sûr que çà vendrait! ça se vendrait peut-être mais est-ce que ça se lirait? T'as déjà lu un post de Loner, toi ? de qui ça? | |
|  | | Colonel Langlois sportif sans niveau
Nombre de messages : 12571 Date d'inscription : 15/10/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Sam 13 Oct - 15:46 | |
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|  | | Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Dim 14 Oct - 22:45 | |
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|  | | Loner Roland Flure

Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 17 Oct - 12:35 | |
|  Je débute çà. | |
|  | | Dan Mad Professor

Nombre de messages : 6952 Date d'inscription : 01/11/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 18 Oct - 0:50 | |
| - Loner a écrit:

Je débute çà. Ca a l’air bonnard. Je crois que je vais me le faire | |
|  | | jeffard Gentil Organisateur

Nombre de messages : 6049 Date d'inscription : 12/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 24 Oct - 12:00 | |
|  Ne pas chercher ici une énième version romancée des aventures mythologiques du navigateur épris des charmes des sirènes, ou alors, si l’on veut rester dans la métaphore du titre, l’Ulysse de Santiago Gamboa est un Ulysse nouvelle génération, épris de culture française et de sexe débridé, un Ulysse qui tente tant bien que mal de s’en sortir dans une jungle urbaine qui laisse peu d’espoir aux émigrés, un Ulysse perdu dans un Paris d’exil où la survie est primordiale. Ulysse est donc, dans ce livre, Esteban. Nouvellement débarqué dans la capitale de la France, ce jeune émigré colombien, étudiant à la Sorbonne, doit vite se rendre à l’évidence : Paris n’est pas le paradis escompté. Dans cet environnement de sans-papiers, de débrouille et de misère sociale intense, il tente de se faire une place au soleil, ou du moins de vivre décemment. A force de rencontres, de hasards, de bagout et de séduction, il parvient malgré tout à s’en sortir par de petits boulots, et à exister au travers des discussions enflammées avec des réfugiés politiques, des SDF venus des quatre coins du globe, ou à travers de chaudes rencontres d’un soir, des prostituées d’autres contrées comme des françaises bourgeoises… Le sexe comme échappatoire, le cul comme exutoire de l’angoisse perpétuelle du quotidien. Pour se sentir vivre, autant aimer et être aimé, rien d’autre n’a d’importance. Constat lucide pour l’auteur, colombien lui aussi, mais qui parvient, grâce à un procédé narratif inventif (les personnages rencontrés par Esteban font l’objet de chapitres particuliers immédiatement après leur rencontre avec le héros), à rendre compte de l’état de l’immigration et de la clandestinité en France. Sa ribambelle de protagonistes, émigrés de tous pays, possèdent chacun un passé unique et douloureux, l’exorcisent à leur façon (ou pas), et tentent tant bien que mal de s’offrir une deuxième chance dans l’Hexagone. A l’heure d’une remise en question totale du sort des émigrés en France, il est bon et nécessaire de se plonger sans masque dans cet univers difficile mais chaleureux, ce Paris loin des cartes postales surannées qui subsiste encore chez de nombreux écrivains actuels. Et c’est là, dans cet amer descriptif du quotidien de démunis venus d’autres pays, que le titre revêt toute son importance. Le syndrome d’Ulysse survient tôt ou tard sous la forme d’une maladie mentale qui touche une partie grandissante des migrants placés en situation extrême, et qui met en jeu leurs souvenirs liés à l'exil ou à leur situation de clandestinité. Postulat misérabiliste, mais résultat stimulant, passionnant : ce roman de près de 400 pages se lit d’une traite. Rythme assez effréné, personnages extrêmement bien cernés et travaillés, passages érotiques surprenants et franchement réussis – car les personnages sont avant tout des personnages qui vivent essentiellement par et pour le sexe…- et, enfin, style littéraire parfait : fragmenté et souple à la fois. Santiago Gamboa se fait le porte-parole des citoyens du monde, personnages vagabonds, déracinés, mais solidement ancrés dans un quotidien fait de dangers et de bonheurs, où chaque minute se fait précieuse, où l’existence a peur de l’avenir et où l’on vit intensément le présent. Pas d’empathie, pas de pathétique larmoyant : Santiago Gamboa insuffle à son « syndrome d’Ulysse » une telle énergie, un tel souffle romanesque qu’on en ressort gonflés à bloc, prêts à « mordre la vie avant qu’elle ne nous bouffe » comme le dit si bien Esteban, héros malgré lui de cette saga malheureusement très actuelle… | |
|  | | Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 24 Oct - 12:05 | |
| - jeffard a écrit:

Ne pas chercher ici une énième version romancée des aventures mythologiques du navigateur épris des charmes des sirènes, ou alors, si l’on veut rester dans la métaphore du titre, l’Ulysse de Santiago Gamboa est un Ulysse nouvelle génération, épris de culture française et de sexe débridé, un Ulysse qui tente tant bien que mal de s’en sortir dans une jungle urbaine qui laisse peu d’espoir aux émigrés, un Ulysse perdu dans un Paris d’exil où la survie est primordiale.
Ulysse est donc, dans ce livre, Esteban. Nouvellement débarqué dans la capitale de la France, ce jeune émigré colombien, étudiant à la Sorbonne, doit vite se rendre à l’évidence : Paris n’est pas le paradis escompté. Dans cet environnement de sans-papiers, de débrouille et de misère sociale intense, il tente de se faire une place au soleil, ou du moins de vivre décemment. A force de rencontres, de hasards, de bagout et de séduction, il parvient malgré tout à s’en sortir par de petits boulots, et à exister au travers des discussions enflammées avec des réfugiés politiques, des SDF venus des quatre coins du globe, ou à travers de chaudes rencontres d’un soir, des prostituées d’autres contrées comme des françaises bourgeoises…
Le sexe comme échappatoire, le cul comme exutoire de l’angoisse perpétuelle du quotidien. Pour se sentir vivre, autant aimer et être aimé, rien d’autre n’a d’importance. Constat lucide pour l’auteur, colombien lui aussi, mais qui parvient, grâce à un procédé narratif inventif (les personnages rencontrés par Esteban font l’objet de chapitres particuliers immédiatement après leur rencontre avec le héros), à rendre compte de l’état de l’immigration et de la clandestinité en France. Sa ribambelle de protagonistes, émigrés de tous pays, possèdent chacun un passé unique et douloureux, l’exorcisent à leur façon (ou pas), et tentent tant bien que mal de s’offrir une deuxième chance dans l’Hexagone. A l’heure d’une remise en question totale du sort des émigrés en France, il est bon et nécessaire de se plonger sans masque dans cet univers difficile mais chaleureux, ce Paris loin des cartes postales surannées qui subsiste encore chez de nombreux écrivains actuels. Et c’est là, dans cet amer descriptif du quotidien de démunis venus d’autres pays, que le titre revêt toute son importance. Le syndrome d’Ulysse survient tôt ou tard sous la forme d’une maladie mentale qui touche une partie grandissante des migrants placés en situation extrême, et qui met en jeu leurs souvenirs liés à l'exil ou à leur situation de clandestinité.
Postulat misérabiliste, mais résultat stimulant, passionnant : ce roman de près de 400 pages se lit d’une traite. Rythme assez effréné, personnages extrêmement bien cernés et travaillés, passages érotiques surprenants et franchement réussis – car les personnages sont avant tout des personnages qui vivent essentiellement par et pour le sexe…- et, enfin, style littéraire parfait : fragmenté et souple à la fois. Santiago Gamboa se fait le porte-parole des citoyens du monde, personnages vagabonds, déracinés, mais solidement ancrés dans un quotidien fait de dangers et de bonheurs, où chaque minute se fait précieuse, où l’existence a peur de l’avenir et où l’on vit intensément le présent.
Pas d’empathie, pas de pathétique larmoyant : Santiago Gamboa insuffle à son « syndrome d’Ulysse » une telle énergie, un tel souffle romanesque qu’on en ressort gonflés à bloc, prêts à « mordre la vie avant qu’elle ne nous bouffe » comme le dit si bien Esteban, héros malgré lui de cette saga malheureusement très actuelle… tu refrais mieux de faire péter les résultats du Top 6-7 au lieu de te la jouer Firetruc! | |
|  | | Loner Roland Flure

Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 24 Oct - 12:06 | |
| - jeffard a écrit:

Ne pas chercher ici une énième version romancée des aventures mythologiques du navigateur épris des charmes des sirènes, ou alors, si l’on veut rester dans la métaphore du titre, l’Ulysse de Santiago Gamboa est un Ulysse nouvelle génération, épris de culture française et de sexe débridé, un Ulysse qui tente tant bien que mal de s’en sortir dans une jungle urbaine qui laisse peu d’espoir aux émigrés, un Ulysse perdu dans un Paris d’exil où la survie est primordiale.
Ulysse est donc, dans ce livre, Esteban. Nouvellement débarqué dans la capitale de la France, ce jeune émigré colombien, étudiant à la Sorbonne, doit vite se rendre à l’évidence : Paris n’est pas le paradis escompté. Dans cet environnement de sans-papiers, de débrouille et de misère sociale intense, il tente de se faire une place au soleil, ou du moins de vivre décemment. A force de rencontres, de hasards, de bagout et de séduction, il parvient malgré tout à s’en sortir par de petits boulots, et à exister au travers des discussions enflammées avec des réfugiés politiques, des SDF venus des quatre coins du globe, ou à travers de chaudes rencontres d’un soir, des prostituées d’autres contrées comme des françaises bourgeoises…
Le sexe comme échappatoire, le cul comme exutoire de l’angoisse perpétuelle du quotidien. Pour se sentir vivre, autant aimer et être aimé, rien d’autre n’a d’importance. Constat lucide pour l’auteur, colombien lui aussi, mais qui parvient, grâce à un procédé narratif inventif (les personnages rencontrés par Esteban font l’objet de chapitres particuliers immédiatement après leur rencontre avec le héros), à rendre compte de l’état de l’immigration et de la clandestinité en France. Sa ribambelle de protagonistes, émigrés de tous pays, possèdent chacun un passé unique et douloureux, l’exorcisent à leur façon (ou pas), et tentent tant bien que mal de s’offrir une deuxième chance dans l’Hexagone. A l’heure d’une remise en question totale du sort des émigrés en France, il est bon et nécessaire de se plonger sans masque dans cet univers difficile mais chaleureux, ce Paris loin des cartes postales surannées qui subsiste encore chez de nombreux écrivains actuels. Et c’est là, dans cet amer descriptif du quotidien de démunis venus d’autres pays, que le titre revêt toute son importance. Le syndrome d’Ulysse survient tôt ou tard sous la forme d’une maladie mentale qui touche une partie grandissante des migrants placés en situation extrême, et qui met en jeu leurs souvenirs liés à l'exil ou à leur situation de clandestinité.
Postulat misérabiliste, mais résultat stimulant, passionnant : ce roman de près de 400 pages se lit d’une traite. Rythme assez effréné, personnages extrêmement bien cernés et travaillés, passages érotiques surprenants et franchement réussis – car les personnages sont avant tout des personnages qui vivent essentiellement par et pour le sexe…- et, enfin, style littéraire parfait : fragmenté et souple à la fois. Santiago Gamboa se fait le porte-parole des citoyens du monde, personnages vagabonds, déracinés, mais solidement ancrés dans un quotidien fait de dangers et de bonheurs, où chaque minute se fait précieuse, où l’existence a peur de l’avenir et où l’on vit intensément le présent.
Pas d’empathie, pas de pathétique larmoyant : Santiago Gamboa insuffle à son « syndrome d’Ulysse » une telle énergie, un tel souffle romanesque qu’on en ressort gonflés à bloc, prêts à « mordre la vie avant qu’elle ne nous bouffe » comme le dit si bien Esteban, héros malgré lui de cette saga malheureusement très actuelle… Sinon, j'aime bien la couv'...  | |
|  | | Colonel Langlois sportif sans niveau
Nombre de messages : 12571 Date d'inscription : 15/10/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 24 Oct - 18:11 | |
| Alors Mute, tu en es où? Tu accroches ou pas?  | |
|  | | Titam Amante non religieuse

Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Dim 28 Oct - 20:51 | |
|  Ou une histoire des usages médicaux et mondains du corps humain Histoire culturelle de la pratique de l'anatomie (et donc de la dissection du corps) mettant en perspective le rapport au corps humain en tant que matériel servant à l'exploration d'un continent ignoré. Le livre montre très bien que le statut anthropologique du cadavre est lié au statut social du vivant. David le Breton démontre également comment l'anatomie a pu évoluer en profitant de la désacralisation progressive du corps. Bon, seul petit bémol, le livre tend parfois un peu trop vers une histoire de la médecine, mais à part ça, c'est très bon. | |
|  | | Bilboquet Serial Joker

Nombre de messages : 10722 Localisation : Quelque part dans le froid... Date d'inscription : 15/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Dim 28 Oct - 21:08 | |
| [quote="Titam"]  [/quote] C'est une biographie de Paskaloo? | |
|  | | Titam Amante non religieuse

Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Dim 28 Oct - 21:25 | |
| - bilboquet a écrit:
- Titam a écrit:

C'est une biographie de Paskaloo? Vrai que Kaloo ferait un bel écorché. | |
|  | | MuteWitness Le Petit Ménestrel

Nombre de messages : 3093 Date d'inscription : 12/05/2007
 | Sujet: Re: En ce moment Dim 28 Oct - 21:49 | |
| - Colonel Langlois a écrit:
- Alors Mute, tu en es où? Tu accroches ou pas?
 L'un des éboueurs vient de lâcher un pet alors que l'équipe se faisait sermoner-bastonner par le patron. C'est bête mais j'en ai pleuré de rire La grève des éboueurs bat son plein et le shérif est débordé, ça sent la bonne grosse crise à Baker Bon, le livre est très bien comme tu l'avais promis, j'attends l'épilogue | |
|  | | Colonel Langlois sportif sans niveau
Nombre de messages : 12571 Date d'inscription : 15/10/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Dim 28 Oct - 21:54 | |
| - MuteWitness a écrit:
- Colonel Langlois a écrit:
- Alors Mute, tu en es où? Tu accroches ou pas?
 L'un des éboueurs vient de lâcher un pet alors que l'équipe se faisait sermoner-bastonner par le patron. C'est bête mais j'en ai pleuré de rire La grève des éboueurs bat son plein et le shérif est débordé, ça sent la bonne grosse crise à Baker Bon, le livre est très bien comme tu l'avais promis, j'attends l'épilogue excellente scène que ce petit pet au milieu de l'engueulade! ah la grève des éboueurs...le pauvre shériff... | |
|  | | Loner Roland Flure

Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Jeu 1 Nov - 2:45 | |
| | |
|  | | Colonel Langlois sportif sans niveau
Nombre de messages : 12571 Date d'inscription : 15/10/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 7 Nov - 15:36 | |
|  ça m'a l'air pas mal du tout. ça démarre bien en tout cas merci Mute! | |
|  | | powerduo Chevalier Teutonique Ta Mère

Nombre de messages : 9242 Date d'inscription : 02/11/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 7 Nov - 15:53 | |
| - Colonel Langlois a écrit:

ça m'a l'air pas mal du tout. ça démarre bien en tout cas merci Mute! j'ai entendu, avis non partagé, que cet homme sera encore lu dans 100 ans comme Hugo. à méditer quand même.. | |
|  | | Colonel Langlois sportif sans niveau
Nombre de messages : 12571 Date d'inscription : 15/10/2006
 | Sujet: Re: En ce moment Mer 7 Nov - 19:20 | |
| - powerduo a écrit:
- Colonel Langlois a écrit:

ça m'a l'air pas mal du tout. ça démarre bien en tout cas merci Mute! j'ai entendu, avis non partagé, que cet homme sera encore lu dans 100 ans comme Hugo. à méditer quand même.. tu as lu le rapport brodeck toi? | |
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