Hier soir

liten sköldpadda a écrit:

Loner a écrit:

gluuuuute a écrit:

Migy a écrit:

Bon ben j'ai bien aimé, Ellen Page est extraordinairement drôle, michael cera très touchant... Bref un bon film malgré une fin un peu trop "happy end"

J'ai pas Trouvé que ça Faisait "happy end", et Une fin Heureuse ça Fait du bien de Temps en temps... et Cette BO !

L'affiche fait pas envie.

t'es trop superficiel

C'est fort possible, il n'empêche.

tu te fourvoies mon lapin.

Migy a écrit:

tu te fourvoies mon lapin.

Cà m'arrive ma lapine.

Même si 2, 3 puristes de mes fesses gueulent encore aujourd'hui que "gna gna gna c'est une trahison du bouquin de Thompson (1275 ames)", Tavernier ayant preferé respecter l'esprit plutôt que la lettre, ça reste toujours aussi bon à la revoyure.

Coverdale jr a écrit:

Même si 2, 3 puristes de mes fesses gueulent encore aujourd'hui que "gna gna gna c'est une trahison du bouquin de Thompson (1275 ames)", Tavernier ayant preferé respecter l'esprit plutôt que la lettre, ça reste toujours aussi bon à la revoyure.

Somptueux


De Jean Grémillon. Scénar : Jean Anouilh
A mon sens l’un des meilleurs Grémillon ( avec Lumière d’été et l’étrange Monsieur Victor ) avec Fernand Ledoux, Suzy Delair et le jeune Michel Bouquet.

Dan a écrit:

Somptueux


De Jean Grémillon. Scénar : Jean Anouilh
A mon sens l’un des meilleurs Grémillon ( avec Lumière d’été et l’étrange Monsieur Victor ) avec Fernand Ledoux, Suzy Delair et le jeune Michel Bouquet.

Putain, t'enquilles...

On est tombés sur ça hier soir. Vraiment loin du CO c'est certain, mais assez sympatoche pour un dimanche soir après une journée de ski de fond.

Titam a écrit:

On est tombés sur ça hier soir. Vraiment loin du CO c'est certain, mais assez sympatoche pour un dimanche soir après une journée de ski de fond.

Mouais.... Pas convaincu par la fille de balasko...

Loner a écrit:

Titam a écrit:

On est tombés sur ça hier soir. Vraiment loin du CO c'est certain, mais assez sympatoche pour un dimanche soir après une journée de ski de fond.

Mouais.... Pas convaincu par la fille de balasko...

Moi non plus, on dirait sa mère en plus jeune. Mais le film est mignon.

miammiam!
ca fait peur quand même.

qu'est-ce que c'est que cette merde?

ben, Bolino quoi...

Titam a écrit:

ben, Bolino quoi...

je me disais aussi, çà me disait quelque chose!

dérangeant

jeffard a écrit:

dérangeant

Il a sonné à la porte?

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

dérangeant

Il a sonné à la porte?

Putain, encore un qui a confondu Pâques et Halloween.

bilboquet a écrit:

Loner a écrit:

jeffard a écrit:

dérangeant

Il a sonné à la porte?

Putain, encore un qui a confondu Pâques et Halloween.

Par contre, l'accroche sur l'affiche... On dirait un peu l'histoire de ma vie....avec quelques années en moi....

La nuit de mes vingt ans, 5 heures de ma vie ont disparu. (j'étais plein comme une vache, je me souviens de rien...)

Le monsieur Araki est un dingo intéressant. Il a torché le total branque The Doom generation, il y a quelques années.


Rose McGowan est infiniment sexuelle.

Elle a de magnifiques mamelons.

Avec "the doom generation", Araki jouait vraiment la carte du dératé total qui du coup, s'accordait au thème trash du film. Sur "mysterious skin", il traite de la pédophilie, de l'homosexualité et de la folie avec une mise en scène très intimiste et douce, nonchalante. D'où le malaise persistant dans le décalage du propos et de la forme choisie, suivi d'une morale plutôt ambigüe.

Dan a écrit:

Le monsieur Araki est un dingo intéressant. Il a torché le total branque The Doom generation, il y a quelques années.


Rose McGowan est infiniment sexuelle.

Je confirme, la branquitude c'est sa marque de fabrique à ce zigue.
Dans le genre tout est perdu rien n'est possible mâtiné d'une touche de SF incongru mais plaisant, il a aussi commis l'excellent "Nowhere" (avec notamment Chiara qui se dévoile en madonne du SM bi). C'est le 3eme volet de son tryptique, juste apres "Doom generation". Les 1eres images apparaissent sur du Slowdive et c'est bien bon pour commencer une plongée en apnée dans le glauquesque.

Dan a écrit:

Le monsieur Araki est un dingo intéressant. Il a torché le total branque The Doom generation, il y a quelques années.


Rose McGowan est infiniment sexuelle.

Elle jouait pas dans les frangines sorcières bidules elle?

CHEF D’ŒUVRE !!!!!!!!!




Alcoolémie : élevée, sûrement, mais ça n’a aucune importance.
Emotion : TOTALE
Le film ( déjà vu 3 fois naguère) a été projeté 2 fois, à la suite, cette nuit même : il fallait revoir certaines séquences tant le sujet de l’expérience ( ben… moi ) était troublé par leur beauté ou leur inventivité. "La mise en scène, c’est tellement bien" a t-il dit.

Bilan et évaluations de l’expérience :

La Nouvelle vague - houle à petite giclette sans véritable inédit, petite écume rance de branleurs maladroits - la nouvelle vague, donc, n’était rien de bien nouveau. Redisons-le, bordel !!! Juste une poignée de jeunes cons cinéphiles ( tous plus ou moins fanatiques de Renoir notamment; le plus chiant des immenses cinéastes français ) qui ont cru bon de descendre les poubelles en faisant beaucoup du bruit dans l’escalier. N’a pas la grâce de l’éboueur qui veut. La concierge malgré le tapage et le chahut dans les couloirs kiffera toujours Audiard et le bon cinoche à papa du samedi soir ( souvent ) sans génie mais ( parfois ) bien branlé des années 50 – 60 et continuera à farfouiller dans ses sacs poubelles Handy Bag pour y retrouver les épluchures de Jean Aurenche & Pierre Bost, Autant-Lara, bien évidemment, et puis surtout l’immense Clouzot ( hystériquement conchié en fin de parcours par un la Truffe boutonneux : ce type attachant mais pour toujours et à jamais médiocre cinéaste. Doinel est un vieux con, c'est devenu évident. )

Bref, soyons courageux et retenons nos larmes, cette « nouvelle un peu vague », ce monument français de la flaccidité filmique 60's maquillée sous la pause « arty - parigote-cahier du cinoche » existe et on ne peut pas la nier ( totalement ) si bien qu’ici et maintenant, aujourd’hui et sur "avance sur recette", s’y inféodent toujours une critique aussi captieuse que cachectique et un cinéma rance, verbeux et à bout de souffle : Desplechin est un tout petit roi à jambes courtes et l’insupportable vieux nonce Rohmer sévit toujours.

Bref, soyons courageux et retenons nos larmes, « La vague nouvelle » existe un peu quand même... Mouais-bof !.. Ok, mais il y a Louis Malle. Oui, Louis Malle. Intéressant ça, Louis Malle. Personne ne l’aime. Vraiment. Personne n’en parle du petit-fils Béghin, capable d’engendrer le grand et de pisser plus petit qu’il n’aurait voulu. Les thuriféraires un peu cons et béats de « la vague » et les malades mentaux qui se tirent frénétiquement sur la tige en extravaguant des Jim et des Jules enculant à sec la sublime Françoise Fabian juste avant que ne sonnent les cloches de Notre-Dame-de-l'Assomption de Clermont-Ferrand n’aiment pas Malle ou l'ignorent. Souvent. Pourtant il sait filmer, lui. Louis Malle. C’est peut-être ça la raison de la désaffection des cons corrodés : une technique de mise en scène, c’est vachement suspect ; et pi c’est super vulgaire le "savoir-faire"…

Qu’importe, en 62, à 30 ans, les grandes amours avec Jeanne Moreau révolues, partageant la plume avec Nimier, le grand Nimier "bleu", juste avant que celui-ci ne mêle son corps de hussard à la carcasse froissée de son Aston Martin, Louis Malle adapte Drieu La Rochelle (subtil et bouleversant écrivain, romantique et… collaborateur suicidé. Le Feu-follet brille en haut de mon top 25 livre, mes connasses ) et signe, à mon sens, le seul grand film français de cette période si vague et… nouvelle. Le seul. Le seul chef d’œuvre. Le seul chef d’œuvre de cette période qui n’existe pas vraiment... Un grand film français, sombre, profond et déprimant ( avouons-le ) mais d’une grande beauté formelle. On pourrait aussi parler de Maurice Ronet mais ça deviendrait indécent...Maurice Ronet est juste la plus fascinante chose que j’ai vue au cinéma…


le Feu Follet de Louis Malle est un CO, bande de connasses !!!


La vie voyage lentement en moi. Alors je l’accélère. Je l’accélère. Je la tords ….

Dan a écrit:

CHEF D’ŒUVRE !!!!!!!!!




Alcoolémie : élevée, sûrement, mais ça n’a aucune importance.
Emotion : TOTALE
Le film ( déjà vu 3 fois naguère) a été projeté 2 fois, à la suite, cette nuit même : il fallait revoir certaines séquences tant le sujet de l’expérience ( ben… moi ) était troublé par leur beauté ou leur inventivité. "La mise en scène, c’est tellement bien" a t-il dit.

Bilan et évaluations de l’expérience :

La Nouvelle vague - houle à petite giclette sans véritable inédit, petite écume rance de branleurs maladroits - la nouvelle vague, donc, n’était rien ( de bien nouveau ) redisons-le, bordel !!! Juste une poignée de jeunes cons cinéphiles ( tous plus ou moins fanatiques de Renoir ; le plus chiant et le moins passionnant des immenses cinéastes français ) ont cru bon de descendre les poubelles en faisant beaucoup du bruit dans l’escalier. N’a pas la grâce de l’éboueur qui veut. La concierge malgré le tapage et le chahut dans les couloirs kiffera toujours Audiard et le bon cinoche à papa ( souvent ) sans génie mais ( parfois ) bien branlé des années 50 – 60 et continuera à farfouiller dans ses sacs poubelles Handy Bag pour y retrouver les épluchures de Jean Aurenche & Pierre Bost, Autant-Lara, bien évidemment, et puis surtout l’immense Clouzot ( hystériquement conchié en fin de parcours par un la Truffe boutonneux : ce type attachant mais pour toujours et à jamais médiocre cinéaste. Doinel est un vieux con, c'est devenu évident. )

Bref, soyons courageux et retenons nos larmes, cette « nouvelle un peu vague », ce monument français de la flaccidité filmique 60's maquillée sous la pause « arty - parigote-cahier du cinoche » existe et on ne peut pas la nier ( totalement ) si bien qu’ici et maintenant, aujourd’hui et sur "avance sur recette", s’y inféodent toujours une critique aussi captieuse que cachectique et un cinéma rance, verbeux et à bout de souffle : Desplechin est un tout petit roi à jambes courtes et l’insupportable vieux nonce Rohmer sévit toujours. Unique lueur dans nos salles obscures, Saint Serge Daney ( l’atroce icône. La pire de toutes. ) n’est plus. Ouf ! Je retremperais bien mes lèvres dans du champagne tiède.

Bref, soyons courageux et retenons nos larmes, « La vague nouvelle » existe un peu quand même... Mouais-bof !.. Ok, mais il y a Louis Malle. Oui, Louis Malle. Intéressant ça, Louis Malle. Personne ne l’aime. Vraiment. Personne n’en parle du petit-fils Béghin, capable d’engendrer le grand et de pisser plus petit qu’il n’aurait voulu. Les thuriféraires un peu cons et béats de « la vague » et les malades mentaux qui se tirent frénétiquement sur la tige en extravaguant des Jim et des Jules enculant à sec la sublime Françoise Fabian juste avant que ne sonnent les cloches de Notre-Dame-de-l'Assomption de Clermont-Ferrand n’aiment pas Malle. Pourtant il sait filmer, lui. Louis Malle. C’est peut-être ça la raison de la désaffection des cons corrodés : une technique de mise en scène, c’est vachement suspect ; et pi c’est super vulgaire le "savoir-faire"… Louis Malle, c’est aussi un grand bourgeois qui s’inscrit à gauche chez les petit bourgeois tout court, ça aussi, ça dénote. Ca fout la merde…

Qu’importe, en 62, à 30 ans, les grandes amours avec Jeanne Moreau révolues, partageant la plume avec Nimier, le grand Nimier "bleu", avant que le grand Nimier mêle son corps de hussard à la carcasse froissée de son Aston Martin, Louis Malle adapte Drieu La Rochelle (subtil et bouleversant écrivain, romantique et… collaborateur suicidé. Le Feu-follet brille en haut de mon top 25 livre, bande de grosses connasses ) et signe, à mon sens, le seul grand film français de cette période si vague et… nouvelle. Le seul. Le seul chef d’œuvre. Le seul chef d’œuvre de cette période qui n’existe pas vraiment. Et puis non, et merde, c'est juste un grand film français, sombre, profond et déprimant ( avouons-le ) mais d’une grande beauté formelle. On pourrait aussi parler de Maurice Ronet mais ça deviendrait indécent Et puis merde, Maurice Ronet est juste la plus fascinante chose que j’ai vue au cinéma…


le Feu Follet de Louis Malle est un CO, bande de connasses !!!


La vie voyage lentement en moi. Alors je l’accélère. Je l’accélère. Je la tords ….

mouais, bof...