| | Still (a)live and well | |
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Auteur | Message |
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Loner Roland Flure
Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 13:59 | |
| - Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! | |
| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 14:24 | |
| - Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! J'en espère autant de ta part quand je posterai deux compte rendus ce week end. | |
| | | Loner Roland Flure
Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 14:26 | |
| - Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! J'en espère autant de ta part quand je posterai deux compte rendus ce week end. Bien entendu. Si tu veux, je peux déjà te complimenter, t'auras plus qu'un copié collé à faire... | |
| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 14:30 | |
| - Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! J'en espère autant de ta part quand je posterai deux compte rendus ce week end. Bien entendu. Si tu veux, je peux déjà te complimenter, t'auras plus qu'un copié collé à faire... Merci oui. En même temps, c'est pas des concerts où les sièges ont ou vont voler hein... entre Kozelek et James Yorkston, c'est plutôt peace... | |
| | | Loner Roland Flure
Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 14:34 | |
| - Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! J'en espère autant de ta part quand je posterai deux compte rendus ce week end. Bien entendu. Si tu veux, je peux déjà te complimenter, t'auras plus qu'un copié collé à faire... Merci oui. En même temps, c'est pas des concerts où les sièges ont ou vont voler hein... entre Kozelek et James Yorkston, c'est plutôt peace... Compliment 1: Bravo Compliment 2: Fantastique, çà donne envie Compliment 3: Génial, trop court, j'en veux encore Compliment 4: C'est toi avec les seins nus sur la scène? Putain, jolis! A toi de choisir! | |
| | | Dan Mad Professor
Nombre de messages : 6952 Date d'inscription : 01/11/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 15:59 | |
| - Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! Je persiste et je signe : ca manque quand même de filles à… | |
| | | paskaloo Arsouille
Nombre de messages : 7749 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 16:19 | |
| - Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- danazer a écrit:
- Shirley & Dino, ces deux golios demeurent pour moi un mystère. Ca fait rire qui ? C’est quand même vachement navrant. Ca sent l’humour un peu moisi des années 50. Je suis certain que les sketchs de Robert Lamoureux ont mieux vieilli
Euuuhhhh...ouais, je ne vois vraiment pas ce qui peut faire rire. Bigard, et les autres, j'adhère pas, mais je vois bien ce qui fait rire les autres, mais là, effectivement, c'est également un mystère, et puis la voix de la gonzesse me file des envies de meurtre! En même temps, elle a une bouche à écluser toute une crémerie, ceci explique peut-être cela... Au moins, pendant ce temps là, elle ne parle pas
ça ta pas echappé un coquine moi aussi je ne vois que ça sees dents ça frait un beau collier autour de ma p. | |
| | | paskaloo Arsouille
Nombre de messages : 7749 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 16:58 | |
| - Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! "et une tronche de junkie déchu"tout de suite les préjugés c'est peu etre un junky a son apogé.....mouai.... | |
| | | paskaloo Arsouille
Nombre de messages : 7749 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 17:01 | |
| Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. tu l'a dis ..c'est un junky... | |
| | | paskaloo Arsouille
Nombre de messages : 7749 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 17:08 | |
| - Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! Ah quand même! J'en espère autant de ta part quand je posterai deux compte rendus ce week end. Bien entendu. Si tu veux, je peux déjà te complimenter, t'auras plus qu'un copié collé à faire... Merci oui. En même temps, c'est pas des concerts où les sièges ont ou vont voler hein... entre Kozelek et James Yorkston, c'est plutôt peace... wé c'est pas les stones a rotterdam ou a ALTAMONT en meme temps y a pas de victimes a deplorer.... | |
| | | Loner Roland Flure
Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 17:10 | |
| - paskaloo a écrit:
- Titam a écrit:
- Loner (est sauf!) a écrit:
- DO MAKE SAY THINK à la Maroquinerie le 22 mai 2007
D’abord, la salle. Une première pour moi. Celle-ci, je ne l’avais encore jamais faite. A mon grand étonnement, lorsque l’on passe les portes d’entrée, après un couloir, on se retrouve dans une petite cour, et plus loin, un bar restaurant. On prend donc un demi, on s’assoit et sirote notre à côté des membres du groupe. L’ambiance est calme, pas grand monde, le fond de l’air est frais. Tiens, je vais pisser avant le concert (je sais, on s’en cogne, mais çà soulage).
Première partie : Steeple Remove
Personnellement, je n’en avais jamais entendu parlé. Visiblement français, ils jouent fort, c’est carré, précis, mais putain, c’est chiant. Un heure de binaire, avec un mélange de Air et Stereolab, avec des guitares saturées et une voix insupportable. Les textes que l’on peut saisir au vol pissent pas bien loin « Jesus walks on the water » pendant 3 minutes, c’est long. Bref, je m’emmerde copieusement, et visiblement, je ne suis pas le seul. La salle est clairsemée et impatiente. Ils partent enfin. Merci.
Do Make Say Think
J’étais impatient….et sceptique. J’aime beaucoup ce qu’ils produisent sur disque, mais, je ne sais pas pourquoi, sur scène, j’hésitais. Putain, la claque. D’abord, ils sont huit sur une scène à peine plus grande que mon salon, des loustics qui ne ressemblent à rien, notamment le guitariste tatoué de partout, et une tronche de junkie déchu. Et puis entre la violoniste, avec un haut très très échancré dans le dos, au point qu’on se dit qu’elle aurait eu plus de succès encore si elle avait daigné le mettre dans l’autre sens.
Et c’est parti. Deux ou trois cuivres selon les morceaux, une basse 6 cordes qui vrombit à tout instant, deux batteurs qui tapent dur, précis, mais bizarrement pas bourrin. Les influences jazz se ressentent notamment chez eux. Le son des guitares un brin trop aigüe est malgré tout très bon, et le guitariste tatoué est définitivement à la masse. Arrivé à bouger autant sur un truc aussi petit, respect. Les instants de grâce se mêlent aux instants de chaos absolus. Un boucan comme rarement entendu en concert, un bordel incroyable pour finalement retomber sur leurs pattes. On nous demande de sortir nos clés pour jouer les percussionnistes d’occasion, le bassiste déconne avec le public. Marrant. Puis vient le rappel, cette guitare acoustique, et six musiciens qui jouent les choristes. Instant en suspens, c’est beau. Puis à nouveau la chaos, le guitariste monte sur les épaules du clavier, manque d’éclater un spot, puis à deux reprises la violoncelliste avec son manche de gratte en redescendant. Cà part en couille, c’est le grand n’importe quoi, mais putain, c’est festif, c’est énorme.
Les lumières se rallument, la salle se vide, mais certains restent et hurlent à tout rompre. La salle est maintenant à moitié vide quand le groupe réapparaît, entonne un hymne qui m’est inconnu, bières à la main, et reprend les instruments pour un final de 10 minutes gigantesque.
Deux heures de concert, et là, c’est bel et bien fini. On ressort de la salle et mon pote me dit : « Bon ben, s’ils repassent à Paris, c’est sans problème ! ». Tu m’étonnes ! Quel merveilleux compte-rendu mon Loner! Encore! "et une tronche de junkie déchu" tout de suite les préjugés c'est peu etre un junky a son apogé..... mouai.... Ce n'est qu'une façon de parler... Il avait les yeux franchement fatigués, et une tête à s'injecter autre chose que de l'insuline, mais c'est pas pour autant qu'il se shoote. C'est juste histoire de trouvé une image parlante pour le représenter. Note bien que, même s'il se shoote, je m'en tamponne allégrement la coquille, je me concentre uniquement sur la musique. | |
| | | Jack's Tulip Le Messie
Nombre de messages : 6666 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 18:51 | |
| - danazer a écrit:
- Shirley & Dino, ces deux golios demeurent pour moi un mystère. Ca fait rire qui ? C’est quand même vachement navrant. Ca sent l’humour un peu moisi des années 50. Je suis certain que les sketchs de Robert Lamoureux ont mieux vieilli
C'est du bon sens. | |
| | | Jack's Tulip Le Messie
Nombre de messages : 6666 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 18:53 | |
| - Titam a écrit:
- Hé ben, tu devrais aller voir des concerts plus souvent, c'est 'achement bien comme compte rendu.
C'est clair que ca a une autre gueule que ton compte-rendu de Kozelek. | |
| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 19:00 | |
| - Jack's Tulip a écrit:
- Titam a écrit:
- Hé ben, tu devrais aller voir des concerts plus souvent, c'est 'achement bien comme compte rendu.
C'est clair que ca a une autre gueule que ton compte-rendu de Kozelek. En même temps, vu qu'il en torche un par an, c'est facile. | |
| | | Loner Roland Flure
Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 22:35 | |
| - Titam a écrit:
- Jack's Tulip a écrit:
- Titam a écrit:
- Hé ben, tu devrais aller voir des concerts plus souvent, c'est 'achement bien comme compte rendu.
C'est clair que ca a une autre gueule que ton compte-rendu de Kozelek. En même temps, vu qu'il en torche un par an, c'est facile. 3! | |
| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 23:31 | |
| 9 mai, concert de Mark Kozelek à l’Union Chapel. Je vous ai déjà parlé de la salle dans un compte-rendu précédent. C’est une église encore en activité, l’acoustique y est merveilleuse. Et les ingénieurs du son règlent parfaitement les amplis, c’est un pur plaisir. Bon, pour ce qui est des lumières, par contre, moyen. Parlons d’abord de l’ami Mark. Il ne ressemble à rien, soyons francs. Pas sexy pour deux sous, heureusement qu’il a de la présence sur scène, et une putain de voix à vous faire dresser les poils au garde à vous. Le silence s’impose quand il est sur scène. A tel point que j’ai failli étouffer quand j’ai eu une énorme quinte de toux et que je ne voulais pas en laisser échapper un son… Kozelek passe des heures, littéralement, à accorder ses deux guitares. Sur 7 min d’un morceau, il en passe 4 à accorder sa gratte. Et 50 fois le même accord, ça agace un tantinet. Et il réaccorde. Parfois même au milieu d’un morceau. Parfois, il change carrément de guitare. Au milieu d’un morceau. Repart. Et finit tous ses morceaux sans qu’on s’y attende. C’est un perfectionniste comme j’en ai rarement vu sur scène. Il est du genre communicatif. On apprend que sa copine a 26 ans (honnêtement, on s’en fout pas mal), nous raconte un peu la vie de ses morceaux, etc. Communicatif, mais pas trop. A un moment, il en a eu marre qu’on le filme ou qu’on le prenne en photo (même sans flash), et il nous a sorti une jolie diatribe contre la technologie moderne « there was a time before Kings of Leon, MySpace and Ipods », etc. Je me demande bien pourquoi les Kings of Leon lui sont venus en tête, mais enfin. Un concert digne de Little Drummer Boy. Des morceaux variés, piochant dans tous les albums, allant de Red House Painters à Sun Kill Moon, en passant par ses morceaux en propre. J’aurais aimé mieux connaître sa discographie ceci dit, parce que certains morceaux m’étaient inconnus. J’ai quand même eu droit à Katy song, une de mes préférées… Kozelek habille superbement ses mélodie d'une voix douce et envoûtante, qui s'imprime profondément en soi. Je suis repartie avec mon poster édition limitée, imprimé juste pour ce concert, et signé de l’artiste, avec l’envie de continuer à l’entendre jouer jusqu’à ce que mes yeux se ferment dans mon lit. Je veux bien que Mark vienne me chanter des berceuses pour m’endormir tous les soirs. Ou que M. Titam se mette à la sérénade kozelekienne. | |
| | | Colonel Langlois sportif sans niveau
Nombre de messages : 12571 Date d'inscription : 15/10/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 23:48 | |
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| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| | | | Jack's Tulip Le Messie
Nombre de messages : 6666 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Mer 23 Mai - 23:58 | |
| - Colonel Langlois a écrit:
- il a reçu kozelek!
il a pris cher: au moins 20 kgs en 10 ans (j'ai eu la chance de le voir fin 96, c'etait encore RHP a l'epoque) | |
| | | powerduo Chevalier Teutonique Ta Mère
Nombre de messages : 9242 Date d'inscription : 02/11/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Jeu 24 Mai - 0:03 | |
| ça s'appelle une "blackite", ça va continuer avec une perte de cheveux.... Tu fini aux eurockéennes sur scène avec le cendrier Kim Deal... Une sale mort. | |
| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Jeu 24 Mai - 0:04 | |
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| | | Jack's Tulip Le Messie
Nombre de messages : 6666 Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Jeu 24 Mai - 0:07 | |
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| | | Titam Amante non religieuse
Nombre de messages : 25989 Localisation : Québec Date d'inscription : 13/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Jeu 24 Mai - 0:10 | |
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| | | Dan Mad Professor
Nombre de messages : 6952 Date d'inscription : 01/11/2006
| | | | Loner Roland Flure
Nombre de messages : 29507 Localisation : Au fond à gauche! Date d'inscription : 12/08/2006
| Sujet: Re: Still (a)live and well Jeu 24 Mai - 10:05 | |
| - Titam a écrit:
- 9 mai, concert de Mark Kozelek à l’Union Chapel.
Je vous ai déjà parlé de la salle dans un compte-rendu précédent. C’est une église encore en activité, l’acoustique y est merveilleuse. Et les ingénieurs du son règlent parfaitement les amplis, c’est un pur plaisir. Bon, pour ce qui est des lumières, par contre, moyen.
Parlons d’abord de l’ami Mark. Il ne ressemble à rien, soyons francs. Pas sexy pour deux sous, heureusement qu’il a de la présence sur scène, et une putain de voix à vous faire dresser les poils au garde à vous. Le silence s’impose quand il est sur scène. A tel point que j’ai failli étouffer quand j’ai eu une énorme quinte de toux et que je ne voulais pas en laisser échapper un son…
Kozelek passe des heures, littéralement, à accorder ses deux guitares. Sur 7 min d’un morceau, il en passe 4 à accorder sa gratte. Et 50 fois le même accord, ça agace un tantinet. Et il réaccorde. Parfois même au milieu d’un morceau. Parfois, il change carrément de guitare. Au milieu d’un morceau. Repart. Et finit tous ses morceaux sans qu’on s’y attende. C’est un perfectionniste comme j’en ai rarement vu sur scène.
Il est du genre communicatif. On apprend que sa copine a 26 ans (honnêtement, on s’en fout pas mal), nous raconte un peu la vie de ses morceaux, etc. Communicatif, mais pas trop. A un moment, il en a eu marre qu’on le filme ou qu’on le prenne en photo (même sans flash), et il nous a sorti une jolie diatribe contre la technologie moderne « there was a time before Kings of Leon, MySpace and Ipods », etc. Je me demande bien pourquoi les Kings of Leon lui sont venus en tête, mais enfin.
Un concert digne de Little Drummer Boy. Des morceaux variés, piochant dans tous les albums, allant de Red House Painters à Sun Kill Moon, en passant par ses morceaux en propre. J’aurais aimé mieux connaître sa discographie ceci dit, parce que certains morceaux m’étaient inconnus. J’ai quand même eu droit à Katy song, une de mes préférées… Kozelek habille superbement ses mélodie d'une voix douce et envoûtante, qui s'imprime profondément en soi.
Je suis repartie avec mon poster édition limitée, imprimé juste pour ce concert, et signé de l’artiste, avec l’envie de continuer à l’entendre jouer jusqu’à ce que mes yeux se ferment dans mon lit. Je veux bien que Mark vienne me chanter des berceuses pour m’endormir tous les soirs. Ou que M. Titam se mette à la sérénade kozelekienne.
Bah voilà quand tu veux! | |
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