Tous les biturins du monde perdent un frère, un maître, un exemple et pleurent ce grand homme à la face vultueuse et l’haleine chargée qui a su prouver aux buveurs d’eau et aux pisse-froids que l’on pouvait être à la fois "toujours le dernier à sortir du bar" et le premier à la tête d’un grand et puissant pays. Je lève mon verre à ta mémoire et je te salue bien bas, Boris.